Eliott Alexandre Simon

ST PIERRE

PRÉNOM(S) ▪ eliott alexandre simon NOM DE FAMILLE ▪ st pierre AGE ▪ vingt et un ans DATE DE NAISSANCE ▪ trente et un décembre mille neuf cent quatre-vingt neuf ORIGINE(S) ▪ française et anglaise LIEU DE NAISSANCE ▪ paris ÉTUDES/MÉTIER ▪ militaire GROUPE ▪ travailleur SITUATION ▪ célibataire

✎ CARACTÈRE têtu . courageux . impulsif . patient . franc . fuit les disputes . sûr de lui . digne de confiance . souriant . travailleur . sociable . acharné.

✎ PHYSIQUE musclé . blond . 1m80 . yeux vert profond . une peau de bébé . un teint hâlé . cicatrice sur l'épaule droite . tatouage dans le creux du poignet gauche . cheveux bouclé . tête d'ange . sourire aux dents blanches.

✎ POUR VOUS, PARIS C'EST SURTOUT...

Cochez toutes les expressions qui se rapportent à votre vision de la ville de Paris. Pour cocher une réponse, il vous suffit de rajouter le terme "checked" entre les termes value="personnage" et type="checkbox".
La ville de l'amour Le charme français Le luxe La capitale de la mode Une expérience fabuleuse Une ville comme les autres La plus belle ville du monde La ville de la fête Une destination agréable pour s'évader Un pur enchantement Un endroit banal sur Terre Votre ville natale adorée Des paysages magnifiques Un endroit détestable

✎ PARIS, OUI, MAIS POURQUOI ?

Expliquez la raison pour laquelle votre personnage est aujourd'hui dans la Capitale : parce qu'il y est né, par choix, par nécessité, comme touriste, pour travailler, pour étudier, contre son gré, etc... Votre réponse doit faire un minimum de cinq lignes et doit être précise et complète.
Si je suis dans cette ville, c’est avant tout parce que je suis né ici. J’ai poussé mon premier cri dans cette magnifique ville française. Mes parents vivent ici, mais si je suis revenu à Paris pour ma permission de quelques mois c’est en particulier pour retrouver Augustine. Ma meilleure amie, mon amante et sans aucun doute la femme de ma vie. Je me suis engagé pour partir d’ici, mais Paris reste la ville qui aura accueilli la moitié de ma vie et malgré tout ce monde superficiel, j’y suis attaché à cette ville.

« Eliott Alexandre Simon St Pierre, tu seras un grand homme mon fils. ». Voilà les premiers mots que mon père prononça à mon égard. J’étais enfin là. Le fils qu’il avait tant attendu. Son héritier. Le seul et unique. Je suis arrivé dans ce monde le trente et un décembre mille neuf cent quatre-vingt neuf dans la plus belle clinique de Paris. Oui Paris la capitale française. On m’as toujours raconter que ce jour-là il neigeait comme il neige rarement sur Paris. Personne de la famille n’avaient pu ce déplacer pour venir me voir les premiers jours de mon existence. Dans cette ville, mes parents sont plus que connus. Après tout je suis le petit dernier dans la très grande famille St Pierre. La très grande et surtout la très respecter famille St Pierre. Mon père est un avocat très reconnu qui n’as jamais perdu une seule de ses affaires. Quant à ma mère. Elle travaille durement en tant que décoratrice d’intérieur, mais elle n’as pas besoin de cela pour être reconnue. Sa famille est aussi puissante que celle de mon père sur Paris. Voilà dans quel monde j’ai atterris. Ma bouille d’ange et moi. Je n’avais que quelques heures que déjà tout le gratin parisien connaissait mon existence. Pour ma famille mon avenir était déjà tout tracer. Je devais faire de grande étude et reprendre l’affaire de mon père. Et oui. A peine né on avait déjà décidé de ce que je devais faire. Enfin bref… Me voilà donc dans ce monde. Mes parents. Je ne les aie jamais réellement connu. Enfin. J’ai surtout été élever par ma nourrice. Comme tout le monde dans ce monde de riche. Elle a toujours fait attention à moi. Elle n’avait pas d’enfant et elle m’adorait plus que tout. Malgré tout j’étais un enfant assez turbulent. Je détestais que l’on me donne des ordres. J’étais assez capricieux. Un vrai gosse de riche quoi. De plus. Tout le monde me cédait tout. J’avais une véritable bouille d’ange avec mes yeux clairs et mes cheveux blonds. Oui une tête d’ange. Qui dissimulait un sacré bout en train !

Enfance dorée. Dans un monde doré. Et surtout dans un monde plein de fric. J’avais de l’argent plein les poches et je n’avais que six ans. A l’école ? J’étais bon élève comme tous mes petits camarades. Mais, ce qui m’amusait vraiment c’était de terrifier les autres. Tout cela avec Augustine. Cette petite je l’ai connais depuis ma naissance. Parents très amis. Même nourrice. On aura passer notre enfance ensemble. Six ans et on avait déjà notre jeu. Cap ou pas cap ? Certains avaient tenter de jouer avec nous. Ils se sont vite casser les dents. Gosses de riches nous n’avions pas de limites. Quand je dis pas c’est vraiment aucunes. On était encore des enfants et pourtant cette vie ne nous suffisaient pas. Chaque fois nous repoussions les limites au possible. Dire des gros mots en cours. Répondre à l’instituteur. Ne pas parler lorsqu’on nous interroge. Jeter des feuilles dans le couloir. Et même sécher des cours. Ils ont rêver de nous séparer. Heureusement nos parents étaient très influents. J’adorais jouer avec cela. L’influence de mes parents. Grâce à cela, je pouvais faire ce que je voulais. Personne ne pouvait rien me dire. Après tout je suis Eliott St Pierre. Le seul et l’unique.

J’ai commencer à grandir. Devenir un adolescence. Rebelle. Caractériel. Impulsif. Tout ce qui me faisait être adoré par certains et détester par d’autre. A l’époque, j’étais le mec parfait pour les filles. J’étais bon élève sans rien faire de particulier. Je passais mon temps à me montrer dans des soirées. Et je collectionnais les aventures d’un soir. Oui ça me plaisait. J’étais puissant et adulé. Je faisais partie de l’élite. De la jeunesse dorée parisienne. Seize ans et j’étais déjà habillé de costume Armani ou Gucci. J’étalais ma fortune. Cette putain de fortune. Je criais sur tous les toits comment je m’appelais. Au Lycée, les professeurs me craignent. Je faisais de ma vie une cours de récréation. Alcool. Joints. Soirées en tout genre. Copines que changent comme ma chemise. Je m’improvisais même DJ. Ma vie était plus nocturne qu’autre chose. Je pensais m’amuser là-dedans. C’est vrai après tout qui pourrait ce plaindre d’avoir une telle vie. Je claquais des doigts et j’avais ce que je voulais. Des amis tout autour du ventre. De l’argent à en revendre. Une belle baraque. Des fringues de rêves. Et même un physique parfait. C’est vrai tout était parfait ! Enfin je croyais. Augustine était toujours présente dans ma vie. Plus que jamais même. Tout le monde nous disait âme sœur ou un truc stupide dans le genre. Certains nous disent en couple. D’autre meilleurs amis. Mais nous on croyait pas à tous ça. Enfin à la base. Les sentiments. Les trucs romantique. L’amour. Tout ça c’était vraiment pas pour moi. J’aimais pas ça. J’étais pas du tout fait pour un truc comme ça. Cela ne m’intéressait pas du tout. Je sortais avec des filles pour les baisers et leurs dire au revoir le lendemain. Oui c’était ça mon truc. Et puis il y a eu le seizième anniversaire d’Augustine. Je lui avais promis de coucher avec elle si elle était encore vierge. C’était le cas. Au début, j’étais un peu contre. Mais on avait bien bu et j’avais une promesse à tenir. Habituellement je ne les tenais jamais, mais avec elle si ! On a donc coucher ensemble et à partir de ce jour tout à été chamboulé. Et puis on est rentrer. On a fait comme s’il ne c’était rien passer pendant deux semaines. Pour au final retomber dans les bras l’un de l’autre. On a commencer à coucher ensemble régulièrement. Cela nous allait bien. Pas de sentiment. Pas de problèmes. Je la connaissais bien. Elle aussi. On trouvait cela parfait. Sauf que c’est devenu exclusif. Je ne pouvais plus supporter de la savoir avec un autre et idem pour elle. Au fur et a mesure on a baisser notre garde. On est devenu ce qui nous horrifiait le plus. Les sentiments arrivaient. Je commençais à tomber amoureux. Et ça me faisait peur tout ça. Je connaissais pas ce genre de truc. Et puis je commençais à prendre conscience que cette vie n’était pas faîtes pour moi. Je détestais être ce type plein de tunes. Etre ce mec prétentieux qui regarde les gens de haut. Je commençais à me détester. A détester ce comportement et moi-même. Marre de cette jeunesse dorée et de tout cet argent. De cette vie facile et pleine superficialité. Tout cela me devenait insupportable.

« Va crever à la guerre, des mecs prêt à me sauter, j’en ais à la pelle. Si tu crois que j’ai besoin d’un merdeux comme toi dans ma vie. ». Ce fut les dernières paroles qu’Augustine m’adressa. Je venais de lui apprendre que je m’étais engager dans l’armée. L’armée de terre. Je voulais vivre une autre vie. Je voulais laisser tomber cette élite qui rendait tout facile. Je voulais arrêter la débauche. Mais surtout. Surtout je voulais fuir la vie que mon père m’avait programmé. Je ne voulais pas être avocat. Non. Cela ne me plaisait pas du tout. Je voulais vivre ma vie autrement. Et puis. Il fallait que je m’éloigne d’Augustine. J’aurais réellement voulu qu’elle me demande de reste. Elle aurait pu le faire. Elle en crevait d’envie et je le savais. Mais ce fut les dernières paroles qu’elle me cracha à la figure. On était tous les deux terroriser par nos sentiments. Alors j’ai préféré fuir. Partir pour mieux revenir comme on dit. Moi. Eliott Alexandre Simon St Pierre je devais un lâche. Ma carrure et mon physique m’ont particulièrement aidé dans l’armée. Au départ, je n’étais qu’un soldat comme les autres. J’en est particulièrement chier au début. Cela changeait réellement de mon ancienne vie. Ici les gens en avait rien a foutre que je sois plein de frics. Ici on était tous dans la même merde. Et cela me plaisait vraiment. J’en bavais, mais au moins tout était différent ici. Je vivais autre chose. Je changeais du tout au tout. Je devenais celui que j’ai, au fond, toujours été. Impulsif cela m’a causé pas mal de problème au départ. Mais j’ai rapidement évolué dans l’armée. A cause de mon physique on m’a proposé un boulot pas comme les autres. J’ai tout de suite accepter. C’est ainsi que je me suis envoler pour l’Afghanistan. Au revoir la France. Au revoir Paris. Et surtout au revoir le petit emmerdeur que j’étais. Là-bas je suis parti pour une mission secrète donner par l’Etat lui-même. C’était dangereux. C’était ailleurs. C’était parfait ! Je pouvais oublier Augustine. Enfin je croyais que je pourrais l’oublier. Mais même là-bas. Même dans la galère je continuais à penser a elle. Et puis il y a eu ce jour noir. On devait aller sur le terrain. Il faisait encore nuit. On en bavait. Et puis l’ennemi nous est tomber dessus sans prévenir. Et d’un seul coup, tout c’est passer très vite. J’ai entendu un coup de feu puis je me suis retrouver à terre. Je venais d’être toucher au genou. Une douleur aiguë m’irradia la jambe gauche. Et d’un seul coup, ce fut finis pour moi. On me rapatria en France de manière très rapide. Ma blessure s’infectait et ils ne voulaient pas amputer. Dieu merci, j’ai échappé à cette solution. Désormais je suis en permission pour blessure pendant quelques mois. Me voilà donc de retour à Paris. Complètement changé. Plus mûr. Plus sûr de moi. Plus virile aussi. Mais avec une béquille. J’étais différent. Et cela ce ressentais. J’ai du mal à retrouver mes marques. Je ne fait plus du tout partie de cette élite qui aura bercer mon enfance. Le retour fait mal.

« T’es qu’une emmerdeuse, mais j’crois que je t’aime. ». Mais qu’est-ce qui m’as pris de lui dire ça. Je venais tout juste de retrouver Augustine. Elle était venue. Elle était venue au rendez-vous que je lui est donner. J’y croyais pas vraiment. Et pourtant elle est venue. Je sais que ça l’a choquée de me voir comme cela. Avec mon air plus vieux. Ma béquille. Elle n’avait pas eu de mes nouvelles pendant trois ans. Je sais c’est long trois ans, mais j’avais besoin de la revoir. Elle n’a pas changé. Toujours aussi belle. « T’es qu’un emmerdeur et je suis certaine que je ne t'aime pas. » . Oh oui. Elle n'a pas changer...