Lorenza Esmeralda

DA Fonseca

PRÉNOM(S) ▪ On m'a donné le prénom d'Esmeralda, oui comme la bohémienne dans notre dame de Paris, étrangement j'ai légèrement la même histoire. Je sais d'où je viens mais, comme elle, je suis d'un peu partout, ce prénom avait beaucoup d'importance pour ma mère. Je porte aussi son prénom. Lorenza. NOM DE FAMILLE ▪ Je porte aussi celui de mon père, Hawkes. Je signe avec ce nom, mais je sais que mon vrai nom de famille et Da Fonseca. AGE ▪ je suis maintenant âgée de vingt et un an, oui, seulement, pas assez, peut être, surtout. vingt et un an c'est suffisant. DATE DE NAISSANCE ▪ j'ai vu le jour un sept septembre mille neuf cent quatre vingt neuf. ORIGINE(S) ▪ j'ai beaucoup voyagé, je n'étais pas comme la bohémienne, mais je voyageais sans cesse avec ma mère, j'ai pris les origines d'un peu partout. LIEU DE NAISSANCE ▪ Une commune qui s'appelle Fonseca dans la province de Porto. Je viens de là-bas enfin je crois, personne n'en est sûr. ÉTUDES/MÉTIER ▪ vendeuse dans un prêt à porter pendant les vacances, étudiante en médecine. GROUPE ▪ travailleur. SITUATION ▪ célibataire.

✎ CARACTÈRE adorable ★ caractérielle ★ intelligente ★ gourmande ★ marrante ★ fainéante ★ gentille ★ emmerdante ★ douce ★ drôle ★ jalouse ★ généreuse ★ possessive ★ souriante ★ perdue ★ heureuse ★ mystérieuse ★ fidèle ★ manipulatrice ★ souriante ★ têtue ★ barré ★ extravertie ★ avenante ★ franche ★ très maladroite ★ légère ★ impulsive ★ fantastique ★ attachante ★ sympathique ★ grinçante ★ singulière ★ réaliste ★ rêveuse ★ romantique ★ sociable ★ lunatique ★ hystérique ★ sensuelle ★ capricieuse ★ travailleuse ★ douée ★ sportive ★ folle ★ une très grosse dormeuse ★ bordélique ★ boudeuse ★ passionnée ★ envoutante ★ désordonnée ★ bavarde ★ imaginative ★ sérieuse ★ têtue ★ optimiste ★ peureuse ★ unique dans toute sa splendeur.

✎ PHYSIQUE ★ belle ★ sensuelle ★ taille moyenne ★ un mètre soixante cinq ★ sexy ★ ★ forme généreuse ★ taille trente huit ★ envoutante ★ brune ★ cheveux long et ondulés ★ peau légèrement matte ★ beauté sauvage ★ lèvres italienne ★ style divers ★ chic ★ naturelle ★ souple ★ élancée ★ souriante ★ yeux pétillant ★ une voix douce ★ six tatouages ★ une marque de naissance en forme d'étoile filante sur l'avant bras droit ★ unique dans toute sa splendeur.

✎ POUR VOUS, PARIS C'EST SURTOUT...

La ville de l'amour Le charme français Le luxe La capitale de la mode Une expérience fabuleuse Une ville comme les autres La plus belle ville du monde La ville de la fête Une destination agréable pour s'évader Un pur enchantement Un endroit banal sur Terre Votre ville natale adorée Des paysages magnifiques Un endroit détestable

✎ PARIS, OUI, MAIS POURQUOI ?

On m'a beaucoup parlé de cette ville. Paris, rien que le nom s'il vous plait fait rêver. Je ne sais pas, je me sens toute excitée lorsque je le prononce et avoir les pieds sur le sol Parisien me donne des frissons. C'est peut être grave, je ne sais pas mais ma mère m'a tellement parlé de cette ville, de sa ville natale que j'ai toujours rêvé de fouler les mêmes rues qu'elle. J'y suis, je n'en reviens pas d'avoir réussis à convaincre ma mère de me laisser venir ici, elle ne voulait pas à la base mais elle ne peut rien me refuser. C'est par choix et surtout par passion, parce que je suis passionnée par son histoire, d'ailleurs j'ai bien l'intention de passer beaucoup de temps dans sa bibliothèque. Sérieusement, cela ne fait que trois mois et cette ville m'a complètement changée, je suis sûre que ma mère ne me reconnaîtrait pas du tout. Même si j'ai beaucoup voyagé, c'est cette ville qui attire le plus mon attention. Malheureusement, je ne suis pas très riche, je dois travailler quand même pour réussir ma vie, je travaille à mi temps dans un magasin Chanel sur les champs Elysées, surtout pendant les vacances, j'étudie la médecine. Je pense que ma mère serait fière de moi. Après tout, ce n'est pas tout le temps qu'on croise une Esmeralda dans les rues de Paris ?

californie. « Mais putain je n'en peux plus, je n'ai plus de force dans les bras bordel » cria la jeune femme à son coach avant de taper pour la dernière fois dans le puching ball, la jeune femme s'écroula ensuite sur le tapis. Elle était en sueur et ne pouvait plus accomplir le moindre petits gestes et si elle osait faire ça, tout ses muscles criaient de douleur. Le coach qui n'était pas d'accord s'approcha nerveusement de la jeune femme et lui agrippa les cheveux en lui relevant la tête, il lui hurla alors « Bon sang petite conne combien de fois vais-je te dire de ne pas me parler sur ce ton, maintenant tu te met debout et tu continue » La jeune femme qui se tenait les cheveux, son crâne lui brûlait, il la lâcha violemment que sa tête se cogna sur le tapis. Mais ne vous fiez pas aux apparences, les choses telles qu'elles sont ne sont pas ce qu'elles semblent être. La jeune femme se releva avec peine, ses bras étaient fébriles et ses jambes avaient du mal à la soutenir debout, elle remit ses bandages aux mains et souffla nerveusement. Elle cracha par terre avant de s'avancer en piétinant vers le puching ball, elle tapa alors encore dedans, de toutes ses forces bien que ses bras n'avaient plus de jus. Un coup, deux coups, trois coups, quatre coups. Elle tapa alors dedans pour la dernière fois, un bruit sourd se fit entendre, un craquement et le puching ball se déversa sur elle. Elle fit un mouvement de recul mais ne parvient pas à éviter le chargement, elle se retrouva alors par terre. Lorsqu'elle retrouva ses esprits, des claquements de mains se fit entendre dans la salle d'entraînement de boxe. « Mais qu'est ce qu'il s'est passé ? » demanda-t-elle en découvrant le sable sur elle. Elle commençait à s'en extirper que le coach lui dit « Jamais j'aurais cru que ma fille puisse percé ce bon vieux sac de cinquante ans, dis moi comment t'a fais avec tes muscles de treize ans ? » La jeune fille sortit de ce merdier, les idées complètements mélangées « Je crois que ce n'est pas moi qui les percé, je n'ai pas pu le percé, c'est impossible.» La jeune femme toucha du bout de doigts le trou dans le puching ball, ça ne pouvait pas être elle, ou bien elle avait donné un coup de trop et celui ci n'avait pas supporter d'être toujours taper au même endroit quoiqu'il en soit « Bon, de toute façon je m'en fous maintenant j'y vais je vais être en retard en cours » Elle se retourna vers son père « Oui bon vas y ! » Elle commença à partir mais se retourna au dernier moment avant de jeter « Et s'il te plait la prochaine fois m'arrache pas mes cheveux sinon à l'école ils vont croire que je me fais battre surtout que j'ai des bleus partout » La jeune fille prit alors la direction du banc, là où était posé son sac, sur le chemin elle se débanda les poignets, elle sentit son sang fusé à l'intérieur de ses veines qu'elle en eut soudain des crampes. Elle gigota ses mains de bas en hauts. « Esme, t'oublie pas quelque chose avant de partir ? » La Esme en question se retourna et affichait un joli sourire sur son visage fatiguée, elle lâcha tout ce qu'elle avait dans les mains et courut en direction de son père qui l'accueillait avec les bras ouverts « yaataaaaa » cria-t-elle en sautant dans les bras de son vieux père, ses jambes entouraient le bassin de son père qui lui entourait sa taille à l'aide de ses deux bras. « Je préfère ça, aller maintenant file tu vas être encore en retard » Esmeralda lui fit un gros bisou sur sa joue et partit en le laissant là. Elle savait ce qu'il allait faire de sa journée, nettoyer les dégâts qu'elle avait causé. Elle partit en direction des douches et se lava rapidement. Elle avait fait tout ça en un temps recors à vrai dire, elle avait l'habitude, tout les matins très tôt son père l'entraînait à la boxe depuis qu'elle avait environ sept ans. la brunette en avait marre mais elle savait que cela allait lui servir dans la vie. Lorsqu'elle arriva à son collège, la jeune femme retrouvait enfin une vie normale. Lorsque la sonnerie des débuts de cours sonna, la jeune femme soupira. Encore une souffrance inutile d'après elle. Elle avança alors jusqu'à sa classe, suivant le petit groupe d'amis devant elle. Elle en était complètement exclu, elle était plutôt solitaire en vérité, elle ne réussissait pas à garder un ami où elle ne faisait rien pour les garder de toute façon, elle avait déjà bien une idée précise, les amis sa profitent toujours, ils sont tous faux ou il sont là par profits. Mieux vaut être seule que mal accompagnée. La jeune fille se mit alors à sa place habituel tout au fond de la classe près de la fenêtre, là la jeune fille pouvait rêver tranquillement seulement quand le professeur ne l'emmerdait pas, il avait une certaine tendance à la punir pour rien. ce qui énervait la jeune fille. Elle n'était pas de cette ville, à vrai dire elle ne savait pas d'où elle venait, sa mère ne lui avait jamais rien dit. Ils passaient leurs temps à déménager, Esme n'avait pas vraiment de chez elle, elle était comme une fille appartenant aux gens du voyage. Beaucoup la traitait de bohémienne, elle se sentait telle qu'elle après tout. Elle n'avait pas de réelles racines. Mais un homme l'avait éclairé, un jour qu'elle était dans la ville de perm en russie, un homme l'avait abordé alors qu'elle s'était perdue dans les rues, elle avait alors onze ans. C'était un de ses voisins, elle adorait passait des journées à bavarder avec lui, elle au bord de sa fenêtre et lui de même. Il lui avait alors dit. « Tu sais jeune fille, ce n'est pas parce que tu n'as pas de réelles origines que tu viens de nul part, tu appartiens à tout les pays où tu as vécus et où tu vivras. Esmeralda, est ce que tu me comprends ? » « Oui je vous comprends, je suis un peu de tout, italienne, russe, espagnol et encore pleins d'autres. » « Oui c'est ça, tu es le meilleur de tous ses pays petite bohémienne » La jeune fille lui avait alors souvenirs et commença alors à chanter cette chanson « Bohémienne nul ne sait le pays d'où je viens bohémienne je suis fille de grands chemins bohémienne, bohémienne qui peut dire où je serai demain bohémienne, bohémienne c'est écrit dans les lignes de ma main ma mère me parlait de l'Espagne comme si c'était son pays et des brigands dans les montagnes dans les montagnes d'Andalousie dans les montagnes d'Andalousie je n'ai plus ni père ni mère j'ai fait de Paris mon pays mais quand j'imagine la mer elle m'emmène loin d'ici vers les montagnes d'Andalousie » L'homme rigola alors, la jeune fille mêla son rire au siens. « Esmeralda ! » La jeune femme sortit de ses rêveries, elle ne savait pas qu'en repensant à ce souvenir, la jeune fille s'était mise à chanter et tout ses camarades se moquaient d'elle. La jeune femme connaissait la chanson, elle rangea ses affaires et se leva de sa chaise. Elle regarda fièrement devant elle, elle regardait ses camarades sournoisement. Elle parla alors comme les bitchs dans les films. « Vous savez quoi ? les choses vont changer, je vais changer mais en attendant je me casse de cette classe de merde. Au revoir les loosers. » La jeune fille fit le signe de L avec ses doigts et la cola à son front. Elle releva alors les sourcils et partit de sa classe. les choses allaient changé mais les emmerdes allaient arriver aussi.

ils avaient beaucoup déménagés depuis deux milles cinq, ils avaient visité new-york, philadelphie, les grandes villes des états-unis pour des affaires soit disant à réglées par son père. « Tu n'es pas sérieuse là ? » hurla sa mère. Esmeralda se tenait devant le magasin du coiffeur et avait les mains sur les hanches. La jeune femme était réellement sérieuse. « Bien sur que je suis sérieuse, je ne l'ai jamais été comme ça !» Elle s'avança et prit la carte de crédit des mains de sa mère en déposant un bisou sur sa joue. Elle entra alors dans la salle, elle fut prise tout de suite. Il a fallut deux bonnes heures pour que la jeune fille ressorte du salon complètement changée. Sa mère ne la reconnut pas tout de suite. Elle était maintenant âgée de dix sept ans, elle n'allait plus à l'école, c'était sa mère qui lui faisait les cours à la maison et c'était bien plus sympa et les cours de box étaient toujours tenus, très tôt le matin. Bref, la jeune fille n'était plus brune avec des cheveux qui ne ressemblaient à rien et qui étaient bien trop long, ses cheveux ne ressemblaient plus à de la paille mais à une chevelure de lionne. Un vraie look de californienne, la première chose que sa mère fut en la voyant c'était d'ouvrir la bouche avant de se précipité sur la nouvelle coiffure de sa fille. « mais tu es splendide, tu es même magnifique » « Oui si on regarde que le haut maintenant faut le look, tu m'accompagnes ? » « Oh oui maintenant ça en vaut la peine » Alors bras dessus bras dessous, les deux femmes partirent pour une journée shopping. Mais ce qui fut une journée pleines de folies se termina en véritable cauchemar lorsqu'elles rentrèrent. « Il est où mon fric ? » « Mais je t'ai dis que je vais te le rendre bientôt, il faut juste que vende encore quelques sachets et c'est bon » « Non c'est pas bon, le boss a dit aujourd'hui pas demain » «je sais mais je n'ai pas eu le temps » « C'est soit tu rends tout de suite le fric soit on tue ta gamine, ta femme et toi. Tu choisis quoi » Esmeralda était caché sous les escaliers quand elle entendit la conversation, elle avait demander à sa mère de rester dans la voiture lorsqu'elle avait vu les grosses voitures noires garées dans le jardin, elle avait alors sentit quelque chose d'anormal. « Non pas ma femme et ma fille, je vous en supplie elle n'ont rien à faire dans l'histoire. » Faux, Esmeralda savait que son père était devenu un dealer, elle l'avait sut quand elle avait trouvé ses sachets et ça lorsqu'elle avait treize ans, vous vous rappeler le sac de puching ball ? il avait craqué sur elle, il était déjà fissuré lorsqu'elle avait taper dedans, son père avait cacher la drogue dedans pour ne rien faire paraître. Elle n'en avait jamais parlé. « Tu crois qu'on va te faire une faveur ? Pourquoi te ferais-t-on une faveur à toi et pas aux autres . » Le père était dans une mauvaise posture il y avait deux hommes avec le mec qui menaçait son père d'une balle dans la tête. La jeune fille sursauta lorsqu'elle entendit un coup de feu provenant de devant la maison, elle se mit une main sur la bouche pour ne pas laisser échapper un son. Une porte s'ouvrit, les larmes commençaient à couler aux coins de ses yeux. « C'est bon la femme est morte, elle était dans la voiture garée devant la baraque mais aucune trace de la trainée. » Impossible, elle ne pouvait pas être morte. Esmeralda sortit doucement de sa cachette, elle ne pouvait pas être vue, elle connaissait sa maison par coeur. Elle se mit alors entre le canapé et le mur, elle avait une vue d'ensemble imprenable mais elle ne pouvait pas se faire voir. « Une de moins. » Elle entendit son père pleurait, il avait perdu sa femme et sa fille était introuvable - enfin c'est ce qu'il pensait du moins - « tiens bon papa, s'il te plait » ses lèvres avaient mimer cette phrase, elle pleurait. La jeune femme ne voulait pas le perdre lui aussi. « pourquoi vous avez fait ça » Un coup partit, elle vit son père tomber par terre, une flaque de sang recouvra alors la moquette. Elle sentit son coeur défaillir, son père était morts devant elle. « Bon maintenant faut la trouver, fouiller la maison après on la fera pêter. » tous les quatre sortis du salon, Esmeralda se précipita sur le corps de son père. Elle tâta son coup, aucun pouls, il était mort. La jeune femme regarda la pièce, elle se leva et fouilla doucement, essayant de ne pas faire de bruit dans les tiroirs, normalement son père avait une arme. Lorsqu'elle mit la main dessus, elle le prit et le plaça dans son dos, dans son jeans. « maintenant faut que je parte. » Elle prit les trois grosses liasses de billets. Avertis par le bruit, les autres descendirent les escaliers en trombe, la jeune femme courut dans la cuisine et attendit quelques instants qu'ils soient sortis pour voir où elle était partis, lorsqu'elle les vit dans le jardin, Esmeralda se précipita dans sa chambre, prit un sac et y mit des affaires à la volé, tout l'argent qu'elle avait trouvé, tout ce qu'il lui fallait. Elle sortit par la fenêtre et s'enfuit de l'autre côté, elle avait les larmes aux yeux, elle fourra l'arme dans son sac. Elle manqua de se faire écraser par une voiture, lorsqu'elle vit qui était dans la voiture, elle reconnut son meilleur ami, son premier ami. Elle contourna la voiture et grimpa dans la décapotable, en virant son conducteur qui prit le siège passager, la jeune femme démarra en trombe et revint devant chez elle. « Mais bordel Esmeralda, qu'est ce qu'il se passe là ? Tu fous quoi ? » la jeune femme ne répondit pas, elle ralentit devant chez elle, il y avait deux hommes dans son jardin. « Il faut que je m'en aille. » Elle donna son portable à son meilleure ami lui demandant d'appeler la police. «Mais c'est quoi ce bordel, Esmeralda arrête tout de suite cette putain de voiture.» Elle ne s'arrêta que lorsqu'elle atteignit un aéroport près de chez eux. « Ecoute je suis désolée d'accord, mais c'est soit t'y retourne soit tu viens avec moi. » « Ok je viens mais tu vas devoir m'expliquer ! » La jeune femme prit deux billet d'avions pour la première destinations qui lui est venue en tête. Paris. Elle expliqua tout à son meilleur ami.

beaucoup de choses ont changés dans la vie de la jeune femme, ceux qui avaient tué ses parents sont maintenant en prison et la jeune femme est dans la belle ville de Paris, seule, son meilleur ami est parti pour d'autres horizons même si cela la beaucoup blessé lors de son départ la jeune femme comprend tout à fait. Mais maintenant elle est là, la ville natale de sa mère et elle ne peut s'empêcher de penser à elle, de la sentir tout contre elle. Vous savez, c'est dur lorsqu'on voit sa mère et son père se faire tuer et qu'on est obligé de fuir pour sauver sa peau, c'est ce qu'à fait la jeune Esmeralda. Elle vient de pas mal de pays, elle s'est toujours sentis chez elle, mais même si elle ne connait pas complètement ses réelles origines elle ne peut s'empêcher de se demander tout ça, après tout, d'apparence elle n'en a pas l'air. Elle ressemble plutôt à une fille qui est allée dans de très bonnes écoles et pourtant les apparences sont trompeuses parce que la jeune femme a vécut beaucoup de choses et pas des plus belles. La voilà maintenant orpheline, dans une toute nouvelle vie. Pour seul repère, son appartement qu'elle paye avec le salaire qu'elle obtient en étant vendeuse dans un très grand magasin sur les champs élysées, chanel. Elle en a vu mais tout ça n'est pas près de se finir.

Prénom : kassandra Age : 18 Pseudo sur Bazzart/PRD/autre ... : (s)miley, kassou. Comment as-tu connu le forum ? bazzart Que penses-tu, à première vue, du forum ? magnifique. Avatar : lea michèle Autre chose ? je peux avoir du chocolat ?

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