Maïwenn Nualla

bourgeois

PRÉNOM(S) Maïwenn Nualla NOM DE FAMILLE Bourgeois AGE 19 ans DATE DE NAISSANCE trois mars 1992.ORIGINE(S) irlandaise et française LIEU DE NAISSANCE Dublin, Irlande ÉTUDES/MÉTIER étudiante en médecine GROUPE étudiants SITUATION célibataire

✎ CARACTÈRE souriante. jalouse. drôle. possessive. optimiste. rêveuse. tête en l'air. maladroite. pleine de vie. trop généreuse. presque toujours de bonne humeur. sportive. travailleuse. immature. curieuse. sensible. serviable. attentive. naïve. franche. sincère. collante. douce. courageuse. bornée. déterminée. compréhensive. réfléchie

✎ PHYSIQUE brune aux cheveux long et légèrement ondulés. yeux marrons foncé. peau légèrement bronzé. de taille moyenne et mince. physique plutôt sportif. visage plutôt rond et enfantin, on la croit souvent plus jeune. large sourire. lèvre fines et rosé

✎ POUR VOUS, PARIS C'EST SURTOUT...

Cochez toutes les expressions qui se rapportent à votre vision de la ville de Paris. Pour cocher une réponse, il vous suffit de rajouter le terme "checked" entre les termes value="personnage" et type="checkbox".
La ville de l'amour Le charme français Le luxe La capitale de la mode Une expérience fabuleuse Une ville comme les autres La plus belle ville du monde La ville de la fête Une destination agréable pour s'évader Un pur enchantement Un endroit banal sur Terre Votre ville natale adorée Des paysages magnifiques Un endroit détestable

✎ PARIS, OUI, MAIS POURQUOI ?

Expliquez la raison pour laquelle votre personnage est aujourd'hui dans la Capitale : parce qu'il y est né, par choix, par nécessité, comme touriste, pour travailler, pour étudier, contre son gré, etc... Votre réponse doit faire un minimum de cinq lignes et doit être précise et complète.
Si je suis née à Dublin je n'ai jamais vraiment connu cette ville vu que mes parents ont décidé de venir vivre dans la capitale française alors que j'avais tout juste 4 ans. Je dois avouer que j'ai toujours aimer cette endroit, la ville lumière ! C'est beau quelque soit l'époque de l'année et le temps qu'il fait. Je crois même que je pourrais dire qu'il s'agit d'un endroit tout simplement magique et que je ne quitterai pour rien au monde ! Certes Dublin j'y retourne quelques fois pour des vacances et c'est un endroit charmant mais ça n'a rien à voir avec Paris, ses grandes avenue, ses coins plus typique, ses monuments et ce charme français. Bref, j'aime cette ville et je comptes pas la quitter de si tôt !

« Maman, maman ! Balthazar il veut pas me rendre mon jouet ! » « Pfff t'es toujours obligé de rapporter ! Tu peux pas te débrouiller un peu toute seule ? » commenta mon frère avant ce sourire moqueur sur les lèvres. Cette expression je la connaissais par coeur. Il l'a ressortais presque à chaque fois qu'il me parlait. Du haut de mes cinq ans je me contentai de lui tirer la langue avant de partir en courant dans la cuisine pour rejoindre ma mère qui soupirait déjà à l'idée de devoir régler encore un autre de mes conflits avec mon frère. Avec Balthazar, ou Balthy' comme j'aime bien l'appeler, on a quatre ans de différence, dans un sens c'est pas grand chose et pourtant à moi il m'a toujours semblé bien plus vieux peut être parce qu'il était aussi beaucoup plus sage, respectueux des règles et plus réfléchis. Bon certes quand il s'agissait de m'embêter il était toujours le premier à répondre présent mais moi j'aimais ça. Je me plaignais sans vraiment me plaindre ; En fait c'était un jeux qu'on avait instauré entre nous sans jamais en parler et qui nous amusait. « C'est bon je suis désolé ! T'arrêtes de faire la tête maintenant ..? » « Je sais pas » répondis-je en faisant la moue, on aurait dit un vrai petit ange ! Pendant un moment je restai silencieuse appliqué sur mon dessin alors que Balthy' lui était assis sur mon lit en attendant que comme à mon habitude je me retourne avec mon grand sourire pour lui dire que je le pardonnais. Je finis par craqué comme d'habitude, et je me jetai sur le lit pour le rejoindre. En fin de compte, on était bien plus proche qu'on osait le dire. C'est vrai, je dois avouer que j'ai toujours adorer mon frère et qu'il a toujours tenu cette place importante dans ma vie. Quand je faisais des cauchemars c'est lui que j'allais voir et non pas mes parents. Je m'entendais pourtant bien avec eux et malgré mon sale caractère et mes quelques caprices ils se montraient tout les deux très patient et très aimants. Leur seuls défauts ? Leur boulot. En quittant l'Irlande pour venir s'installer à Paris et retrouver leur racine, mes parents ont décidé de monter leur propre restaurant. Au début c'était un peu dur et puis finalement ils ont eu leur habitué, le bouche à oreilles qui à bien marché et leur restaurant est devenue l'un des plus fréquenté et des plus classes de la ville ! C'est grâce à ça que j'ai eu une enfance dès plus heureuse, avec tout ce que j'ai toujours voulu mais ils étaient trop occupé à géré leur commerce pour s'occuper de moi comme devait le faire des parents. C'est pour ça que Balthazar est si vite devenue important pour moi, j'avais besoin de lui pour me guider et pour boucher ce vide laisser par mes parents.




« Réveille toi ma belle.. Il faut qu'on aille à l'hôpital » J'ouvris péniblement les yeux alors qu'il devait bien être onze heure, la fête de la veille ne m'avait pas laisser in dème. « Pourquoi ? Qu'est ce qui se passe.. ? » demandai-je à ma mère en me redressant doucement. Le dernier mot prononcé par ma mère aurait du me faire bouger plus vite, me faire comprendre que quelque chose n'allait pas, mais mon cerveau pensait avoir du mal à se connecté au reste de mon corps. « C'est ton frère.. Viens.. » Il ne me donna pas plus d'information et me tira par le bras pour me faire bouger. Je quittai mes draps à la fois choqué, inquiète mais aussi encore un peu endormis. Balthy' n'allait pas très bien ces derniers temps c'est vrai et j'avais été la première à le voir mais j'étais pas du genre inquiète. En fait il était même assez rare que je me fasse du soucis pour mon grand frère qui après tout avait vingt ans maintenant. On prit la voiture et ma mère resta silencieuse tout le long du trajet malgré mes questions. Elle paraissait calme et je l'étais moi aussi du coup. On a rejoins mon père dans un des couloirs du l'hôpital, lui avait les traits beaucoup plus marqué par une sorte de panique, de tristesse mais il se contenta de m'adresser un léger sourire « Ça va ma chérie ? » Je hocha la tête en lui retournant moi aussi un sourire avant qu'il ne déposé un baiser sur mon front. Il posa sa main dans mon dos et me poussa jusqu'à une chambre ou je découvris avec horreur mon frère, là allongé sur un lit le teint pale et l'air tellement fatigué. La veille encore il rigolait avec moi des conneries que j'avais pu sortir dans la journée et là.. je ne le reconnaissait pas. Il se passait quelque chose de grave, j'en était persuader maintenant mais j'étais comme paralysé et incapable de demander quoi que se soit à mes parents. Je m'approchais de mon frère qui essayait de m'offrir un de ses large sourire et attrapa sa main pour la serrer dans la mienne quand le médecin entra. J'entendais ses pas mais il ne me permettait pas de sortir de mes pensée et je regardais juste mon frère. Nos regards qui ne se quittait pas, nos mains qui se serrait de plus en plus et cet air abattus sur son visage et dans ses yeux ; je n'avais assisté à un tel spectacle auparavant. Une larme quitta mon œil pour aller rouler sur ma joue alors que le médecin venait tout juste de dire à mes parents que c'était ce qu'il craignait, une leucémie. J'ai toujours détesté montrer ce que je ressentais en publique et pourtant là j'ai craqué et fondu en larme devant mon frère et mes parents bien trop sous le choc eux aussi. Je regrette aujourd'hui de lui avoir offert un tel spectacle mais c'était trop dur à supporter pour la jeune fille de seize ans que j'étais alors. Balthazar m'a pris contre lui et je suis resté comme ça pendant plusieurs minutes, pendant plusieurs heures même. Tout était silencieux autour de nous, on entendait juste mes reniflements de temps à autres. Mes parents eux été partis discuter avec les médecins sans doute du traitement qu'il allait subir mais moi je voulais pas entendre tout ça, je voulais juste profiter de chaque instant qui m'étais offert avec mon frère. Finalement il reprit la parole « Ça va aller Maïwenn, t'en fait pas pour moi » Cette simple me fis retrouvé le sourire. « Je sais, t'es un garçon costaud » répondis-je en lui tapant doucement sur le bras « Le plus fort du monde du veux dire ! » rétorqua t-il dans un éclat de rire, un bruit qui apaisa quelques peu mes douleurs.

Les mois qui ont suivis cette annonce on sans doute été les plus durs de ma vie, et je n'ose même pas penser ce que mon frère a pu vivre lui. Avec tout ces traitements qui le fatiguait plus qu'autre choses, ses examens.. C'était insupportable pour moi de le voir ainsi, aussi différent du Balthazar que j'avais l'habitude de côtoyé. Les premiers temps c'est lui qui nous rassurait, mes parents et moi. Il nous disait toujours qu'il se sentait bien et faisait toujours quelques blagues par ci par là pour essayer de détendre un peu l'atmosphère.. Et puis les mois sont passé. Sa maladie et les traitements l'épuisait énormément, le vidait totalement et c'était à moi maintenant de le rassurer et de l'aider dans sa lutte. J'avais tellement peur qu'un jour il me dise qu'il n'en pouvait plus et qu'il voulait tout abandonné.. J'étais prêt à tout pour lui, pour le sortir de là et pour retrouver mon frère, comme avant avec ses bras et sa voix rassurante. Quand on m'a parlé de greffe j'ai tout d'abord eu peur que le cas de Balthy' soit top grave pour une quelconque guérison puis on m'a expliqué, j'ai fait les tests et il se trouve que j'étais la seule personne compatible avec lui pour une greffe de moelle osseuse. J'ai pas réfléchis une seule seconde, j'en ai pas parlé à mes parents et j'ai accepté. « Je veux pas, je refuse que tu fasses ça.. » grogna mon frère avec sa voix toujours plus faible. « Je te demande pas ton avis. » soupira-je alors en m'asseyant sur la chaise à côtés de son lit d'hôpital. « Tu te rends pas compte.. de .. » Je ne lui laissai pas terminé sa phrase « Si je sais très bien ce que ça implique ! Mais je m'en fiche, tout ce que je veux c'est que tu ailles mieux ! Je t'aime Balthazar, et je veux retrouvé mon frère ! » Il ne me répondit pas et notre discussion se termina d'ailleurs ici puis que mes parents firent leur entré dans la chambre. Quelques semaines après, moi aussi j'étais allongé dans un de ces lits, les yeux rivés sur le plafond blanc au dessus de moi et un énigmatique sourire affiché sur mon visage. J'avais souffert de cet intervention mais mon frère allait s'en sortir d'après les médecins alors je ne pouvais que sourire.




Mon frère a finit par guérir, enfin si on peut dire ça comme ça puis qu'il s'agit toujours d'une leucémie.. Mais il allait mieux et il est revenue à la maison. Je l'ai retrouvé mon Balthazar et d'ailleurs je crois que cette épreuve nous a encore plus rapproché ! Chose que je ne croyais pas possible il y a quelques années en arrière. On a reprit nos bonnes vieilles habitudes assez rapidement tous les deux à sa voir se faire chier mutuellement jusqu'à ce que l'un de nos vienne s'excuser pour passer un bon moment avec l'autre. Ça fait maintenant trois ans que tout cela s'est passé et pourtant je me souviens encore de tout les détails et de tout ce que j'ai ressentis dans cette période difficile. Il m'arrive même parfois d'en faire ses cauchemars la nuit.. Ça je crois que c'est pas vraiment prêt de disparaitre en fait. Malgré tout cela moi j'ai continué à vivre ma petite vie. Oui c'est vrai tout tourne autour de mon frère, encore plus aujourd'hui. Je m'inquiète énormément pour lui et je suis toujours là lui demander comment il va, si il se sent bien ou si il a besoin de quelque chose. Je suis agaçant je le sais bien mais dans le fond je crois qu'il aime bien que je m'occupe de lui comme ça et puis de toute façon il a pas vraiment le choix vu qu'on vit ensemble aujourd'hui ! Et oui, le jour de mes dix neuf ans je me suis dis qu'il était temps pour moi de prendre un peu mon envol alors j'ai décidé d'aller squatter chez mon frère qui lui était partie depuis un ans de la maison familiale. Et quelle sensation agréable de ne plus avoir ses parents sur le dos ; pas qu'ils étaient très sévère avec moi bien au contraire ils jouaient plutôt les parents cool mais bon, j'ai l'impression d'avoir commencé une nouvelle vie, quelque chose de bien excitant que ce que j'ai déjà vécut. Et puis j'ai commencer mes études de médecine - un rapport avec ce qui s'est passé avec mon frère ? Oui peut être. En tout cas je peux dire aujourd'hui que je suis pleinement heureuse même si je passe beaucoup de temps à bosser. Et puis vivre avec son frère ça a du bon, il peut pas vraiment m'engueuler si un soir je sors et rentre un peu tard, il fait la même chose après tout et puis il sait que je suis bien trop sage pour faire une quelconque connerie du genre boire jusqu'à ne plus être capable de marcher ou bien prendre des trucs que les mecs pas très nets te propose toujours. En fait, pour le moment ce que je considère comme ma plus grosse connerie c'est une soirée - pendant laquelle j'avais bu quelques verre ok je l'avoue - et que j'ai finis dans les bras d'un garçon ; pas n'importe lequel.. vous bon, ça c'est une autre histoire.