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Sujet: EMERAUDE ; fiche terminée. Jeu 11 Aoû - 22:34
Emeraude Ange
NICHOLSON
PRÉNOM(S) Je fus nommée Émeraude en hommage à Emerald, une petite ville du Queensland en Australie, où mon père fut élevé. Mon deuxième prénom est Ange. NOM DE FAMILLE Nicholson AGE Je viens d'avoir vingt et un ans DATE DE NAISSANCE Le deux mai 1990 ORIGINE(S) Françaises du côté maternel et Australiennes du côté paternel LIEU DE NAISSANCE La belle ville de Cannes ÉTUDES/MÉTIER J'étudie le droit à la Sorbonne GROUPE Etudiante SITUATION Célibataire
✎ CARACTÈRE sociable, rancunière, adorable, influençable, généreuse, insouciante, bienveillante, compétitive, sérieuse, sensible, intelligente, colérique, artistique, impulsive, pleine de répartie, déteste avoir tord, cultivée, sarcastique, n'a peur de rien, n'accorde pas facilement sa confiance, menteuse, peureuse, surexcitée, infidèle, curieuse, incapable de tenir un secret.
✎ PHYSIQUE Taille plutôt moyenne, silhouette élancée, gracieuse, mince, traits du visages plutôt fins, yeux malicieux verts-marrons, cils longs, chevelure soyeuse et rousse, bouche pulpeuse, ni trop ni trop peu maquillée, toujours chic, manucurée et pédicurée, une peau de porcelaine, poitrine assez forte, taille fine, deux tatouages, souriante, une voix très claire et douc.
Paris, tu nous ouvres ton cœur ...
✎ POUR VOUS, PARIS C'EST SURTOUT...
La ville de l'amourLe charme françaisLe luxeLa capitale de la modeUne expérience fabuleuseUne ville comme les autresLa plus belle ville du mondeLa ville de la fêteUne destination agréable pour s'évaderUn pur enchantementUn endroit banal sur TerreVotre ville natale adoréeDes paysages magnifiquesUn endroit détestable
✎ PARIS, OUI, MAIS POURQUOI ?
Paris, Paris, Paris. Ah ! Tant de choses m’ont amenées dans cette grandiose métropole. La première fois que je vis Paris, ce fut le coup de foudre. Mes adorables parents m’avaient, pour la première fois, amenée avec eux lors de leurs nombreux séjours professionnels à la capitale. J’ai visité tous les monuments et sites culturels, j’ai arpenté les délicieuses rues, j’ai passé des journées entières à faire les magasins. C’est pourquoi cette ville fut celle où je m’évadai. L’été de mes dix-sept ans, un fâcheux évènement me poussa à quitter ma ville natale, Cannes. J’avais besoin de m’éloigner de mes parents, de ma famille, de ceux qui m’attiraient dans un gouffre dont je ne pouvais m’échapper. Il me fallait du changement, un environnement nouveau et frais, qui me changerait les idées. J’obtins mon émancipation et très rapidement, j’étais dans un Air France première classe en direction de Paris.
Rien de rien, il ne se passe jamais rien...
Cannes, le 2 mai 1990, dans les alentours de 04 heures du matin. Voilà plusieurs heures que ma mère, enceinte jusqu’au cou, venait de perdre les eaux et commençait le travail. Mon père était à ses côtés, il l’amena à l’hôpital de la ville dans les plus brefs délais. Ce n’était pas leur premier enfant, ils avaient eu cinq ans plus tôt mon frère ainé, Thibault. Mon père était aux petits soins de son épouse qui traversait une des plus rudes épreuves qu’une femme peut connaître. Le miracle de la vie mes fesses. Tout cela durera plus de sept heures, et oui, je ne voulais pas quitter le petit nid que je m’étais fait durant neuf mois. Finalement, au beau milieu de la nuit, je fis mon entrée sur la planète Terre. Ils décidèrent de m’appeler « Emeraude », pour rappeler la ville natale de mon père, Emerald, en Australie. Mes parents étaient aux anges. A l’évidence, cette histoire me fut racontée bien des années après.
Mon enfance se fit sans grandes encombres. Et sans amour. Mon père, grand homme d’affaires qui fut millionnaire à l’âge de 25 ans, et ma mère, styliste reconnue internationalement, étaient bien trop occupés par leurs métiers respectifs pour faire attention à leurs enfants comme il se devait. Oui, c’est cliché les gosses de riches qui ont plus de souvenir avec leur nounou qu’avec leur mère, mais je n’y peux rien. Il est évident que j’aurais préféré être comblée d’amour que d’argent. Si je vous dit que c’est possible d’avoir un sac Chanel a 10 ans, vous me croyez ? A l’école, je faisais partie des premiers de la classe. Je savais que si je voulais devenir indépendante de mes parents, il fallait que je réussisse. Haute comme trois pommes, et déjà l’ambition d’Obama ! Bien sûr, je n’étais pas un petit rat de bibliothèque qui passait son temps à travailler. J’étais juste très attentive durant les cours et ma mémoire s’occupait du reste. De nature sociable et extravertie, j’étais amie avec toute ma classe, tout le monde m’adorait. Et à l’époque, j’éblouissais les garçons du haut de mes 1m20, avec mes jolies boucles rousses et mon sourire malicieux. Je me souviendrai toujours de mon premier baiser. C'était un petit garçon dont le prénom m'échappe, qui avait cueilli les fleurs d'un parc pour m'en faire un bouquet. Mon coeur fut brisé lorsqu'il du retourner vivre à Paris.
J'étais une enfant, innocente et qui ne se souciait de rien. Tout se passait donc sans problèmes dans ma petite vie. Jusqu'à une certaine nuit de l'hiver 2002.
C'est malheureusement les plus mauvais souvenirs qui restent le plus ancrés dans nos mémoires.
J'avais douze ans. Je surprenais depuis quelque temps des conversations de mes parents qui disaient que Thibault, mon frère alors âgé de dix-sept ans, devenait assez agressif dans ses propos lorsqu'il s'adressait à eux. Qu'apparemment, il n'était plus le même et qu'ils pensaient qu'il se droguait. A l'époque, je savais que la drogue, c'était mal mais je ne me préoccupait pas de tout ça. A table, mon frère s'énervait souvent et finissait même parfois par lancer son assiette par terre, ou renverser sa chaise. Bien sûr, cela me faisait un petit peu peur, mais je savais que c'était mon grand frère, mon protecteur, et que jamais il ne pouvait me faire du mal. Pendant des années, il était comme un modèle pour moi, il me faisait toujours rire et m'apprenait tout.
Mais les choses changent parfois.
Ce soir-là, j'étais restée réveillée très tard ; avoir une télévision dans sa propre chambre, c'est captivant. C'était le week-end, j'en profitais. De plus, mes parents n'étaient pas là, ils participaient à un gala de charité et n'allaient pas rentrer tout de suite. La porte de ma chambre s'ouvrit brusquement, et je trouvai mon frère, dans un état de colère impressionnant. Il ferma la porte derrière lui, monta le volume de la télévision et s'approcha de moi lentement. Se faire violer par son frère à douze ans, est une des pires horreurs que l'on puisse imaginer, n'est-ce-pas ?
Je criais, je pleurais, mais j'étais totalement pétrifiée. Je n'avais aucune force. Il n'y avait que nous deux dans cette immense maison, j'étais absolument impuissante face à cette situation.
Les années passèrent, et je vivais difficilement avec ce souvenir. La seule personne au courant était mon journal. Je ne pouvais le raconter à mes parents, ils ne le verraient plus comme leur fils et je n’avais pas le droit de lui faire ça. Je n’adressais plus la parole à ma famille, je n’en voyais plus l’intérêt, je me sentais comme vide. Et cela durera plusieurs années avant de commencer à cicatriser.
5 ans plus tard, j’essayais de vivre ma vie sans penser au traumatisme que j’avais subi, j’essayais de toutes mes forces de ne pas y penser. Et cela marcha. Bien sûr, ce souvenir ne s’envolera jamais, mais j’avais réussi à l’enfermer dans un tiroir. J’étais alors une adolescente banale : J’allais régulièrement en boite, je fumais, je buvais, j’avais touché à certaines drogues. Dont le sexe. J’allais rentrer en Terminale S, mes parents m’ayant forcé à choisir cette section, alors que je voulais rentrer en L, section la plus intéressante à mon gout. Depuis quelque temps, je m’étais découvert une passion pour la peinture – passion à laquelle j’étais plutôt douée d’ailleurs – et pour la littérature. Tout se passait normalement, mais j’aurais du me douter que quelque chose allait tout renverser, comme à chaque fois dans ma vie.
Un jour comme les autres, je trouvai ma mère dans ma chambre en rentrant des cours. Elle tenait entre ses mains mon journal intime. Faute qui est à mes yeux impardonnable. Je reprochais déjà beaucoup de choses à mes parents, mais je ne les pensais pas capable de ne pas respecter ma vie privée. Bien sûr, sur le coup, je ne mesurai pas les conséquences de cet acte. Je me disais « mince, elle va savoir que je fume des joints ! ». Sauf que je réalisai quelques minutes après que je reparlais souvent de mon viol dans mon journal. Viol commis par son propre fils. Outch.
Mon frère fut viré de la maison. Pendant plusieurs jours, j’eus le droit aux regards compatissants de mes parents, aux pleurs réguliers de ma mère. Super, l’ambiance à la maison. Rajoutez le fait que je ne pouvais adresser la parole à mes parents, étant folle de rage contre eux. Et honteuse, également. Au bout de quelques jours, je ne pouvais plus supporter cela, et je lançai le sujet de mon émancipation à table. Etant dotée d’une argumentation sans pareilles, ils finirent par craquer. De toute façon, ils ne pouvaient rien me refuser à ce moment-là. C’était le début de l’été, j’avais le temps, avant la rentrée, de trouver un appartement et un lycée.
Dans l’avion en direction de Paris, je regardai par le hublot mon passé défiler devant moi. J’avais besoin de ça. Ca allait être dur, bien sûr, mais je ne pouvais plus continuer dans cette même ville, avec ces mêmes personnes. J’avais besoin d’avancer.
Aujourd’hui, je vis dans un grand appartement en colocation et suis étudiante en fac de Droit à la Sorbonne. Mes parents m’envoient régulièrement de l’argent, mais j’en gagne un petit peu de mon côté. Grâce à certains petits boulots, je pus me payer le permis et une jolie Mini Cooper. Après quatre ans passés à Paris, la ville de l’amour, je n’ai toujours pas trouvé l’âme sœur. Remarque, je ne la cherche pas vraiment. J’enchaîne les coups d’un soir, les petites aventures insignifiantes. Et cela ne me dérange pas le moins du monde.
Emeraude en quelques lignes
Emeraude est étudiante en droit, cela la passionne car elle aime aider les gens et sa répartie et son argumentation sont remarquables. Elle a eu des tendances toxicomanes lors de son adolescence, et maintenant toujours un peu de temps en temps, mais beaucoup moins. C'est une fumeuse. Elle couche à droite à gauche, sans attaches. Elle est en colocation avec son meilleur ami. Elle est bilingue anglais, son père étant australien et ne parlant que très peu français. Elle a coupé les ponts avec ses parents depuis quelques années. Son frère l'a violée à l'âge de douze ans. Elle est fan de peinture et de littérature. Elle est extrêmement riche mais n'en est pas fière. Elle possède un iPhone dont elle ne peut se passer. Elle est inscrite dans une salle de gym et fais régulièrement du jogging. C'est une très bonne cuisinière.
Quand tombent les masques ...
Prénom : Pamela Age : 15 ans Comment as-tu connu le forum ? Sur Bazzart Que penses-tu, à première vue, du forum ? J'adore le contexte - enfin un rpg qui se déroule en France! - et le design est tout simplement parfait! Avatar : Holland Roden Autre chose ? Nopp
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Dernière édition par Emeraude A. Nicholson le Ven 12 Aoû - 14:02, édité 35 fois
Ҩ je suis Reece A. Starks
REECE » la vie nous apporte que ce qu'elle a de meilleur.
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I’m dying to catch my breath. Oh why don’t I ever learn ? I’ve lost all my trust, though I’ve surely tried to turn it around. Can you still see the heart of me ? All my agony fades away when you hold me in your embrace. Don’t tear me down for all I need make my heart a better place. Give me something I can believe, don’t tear me down. You’ve opened the door now, don’t let it close.
c'est drôle, les autres c'est comme s'ils ne supportaient pas que tu sois bien, que tu sois simplement content, joyeux. ils trouvent ça suspect, ça les inquiète, alors ils te foutent la haine. il suffit que tu souries, que tu te sentes bien, alors ils te tombent dessus sans prévenir. on dirait qu'ils sont ennemis du bonheur.
son visage me dit quelque chose à cette fille, mais j'arrive pas à trouver dans quoi ou bien où j'ai pu la voir. enfin bref, bienvenue parmi nous ma jolie et puis bonne chance pour ta fiche. (:
Ҩ je suis Emeraude A. Nicholson
times square can't shine as bright as emeraude
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♔ MESSAGES : 102 ♔ METIER/ETUDES : Etudiante en Droit ♔ LOCALISATION : u.c.
son visage me dit quelque chose à cette fille, mais j'arrive pas à trouver dans quoi ou bien où j'ai pu la voir. enfin bref, bienvenue parmi nous ma jolie et puis bonne chance pour ta fiche. (:
pareil, sinon, bienvenue
Ҩ je suis Louise D. Zederman
♔ Ô MAÎTRE SUPRÊME → C'est un admin du forum.
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Je ne connais pas la belle rousse sur ton avatar mais... Bienvenue parmi nous Bonne chance pour ta fiche
Ҩ je suis Constance Rouget
CONSTANCE • quand tu me prends dans tes bras, je vois la vie en rose.
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LOVE IS A DRUG
La seule atmosphère favorable au créateur est celle de la naissance de l'amour. Le mariage ou toute relation permanente avec une femme est la mort d'un grand artiste.