les points importants à savoir sur son histoire 001. Il est le fils d'un grand professeur Russe, titulaire en neurologie et d'une mère française psychologue. 002. Il a une petite soeur âgée de vingt quatre ans et un frère du même âge étant donné qu'ils sont jumeaux. 003. Il a fait de très longues études pour arriver là où il en est aujourd'hui. C'est un médecin très bien réputé en Russie. 004. écrire ici. 005. écrire ici. 00x. écrire ici.

le lien qui unit votre personnage et votre scénario
juin 2005. « Escusez moi... mmh... escusez... OH! » C'était mon premier jour à l'hôpital de saint Petersburgsky Marinsky à Saint Pétersbourg. Non, je n'étais pas entrain d'exercer mon métier, c'était plutôt mon premier jour de stage et j'avais le traque comme pas deux. Mon maître de stage, Alekseï Matveiev, un grand médecin haut placé n'était pas d'humeur à me recevoir aujourd'hui. Mais comme vous le savez bien Eleonor n'a jamais eu sa langue dans sa poche et aujourd'hui ce n'était pas le moment de me snober. Ce n'est pas parce qu'il avait plus d'un millard ( ou presque ) en poche qu'il allait m'impressionner. Mon bloc notes dans les bras, je le suivais sans répit. Pas de réponse... aucun regard. Il commençait déjà à me stresser, mais il ne savait pas sur qui il était tombé malheureusement. Il se retourna d'un coup lorsque je lui tapa sur l'épaule. « Je vous demande pardon ? » Enfin! Monsieur avait réagit. Je me raclai la gorge et lui dit alors « Je suis Eleonor De Beauvoir. Vous devez être mon maître de stage pendant mes six mois de stage complets ici. » Il échappa un soupir et me dit « Vous savez, je n'ai aucunement le temps de m'occuper de stagiaires aujourd'hui, alors adressez vous à ma secrétaire. » je stoppa d'un coup mes pas, et fronça le regard en lui disant « Je sais que vous êtes over-booké mais c'est votre secrétaire qui m'envoie ici et je n'ai pas envie de faire des allés retour pour rien, si vous voyez ce que je veux dire. » « Eh bien soit. Attendez moi dans mon bureau j'arrive dans une heure. » Que voulez vous que je réponde à cela ? Rien. Des tas de patients devaient l'attendre et ça je le comprenais très bien. Je suis alors allée dans son bureau en compagnie de sa secrétaire et une heure après, pile, il est arrivé. Il a lu mon dossier et m'a trouvé... très intéressante. Oui ce sont les mots qu'il a employés. Et c'est là qu'à démarrée notre belle histoire. Enfin, non. Pas exactement en Juin 2005, mais plutôt en Décembre 2005.

Décembre 2005. Jamais je n'aurais cru qu'un homme aussi haut placé et aussi connu aurait pu être ami avec moi. Oui, parce que nous l'étions. Au départ, notre relation professionnelle avait très mal démarrée. Il pensait que j'étais une française arriviste en Russie et que pendant mes mois de stages j'allais lui mettre des bâtons dans les roues, mais pas du tout. Je n'étais pas aussi bête que j'en avais l'air et il l'a comprit assez vite. « Alors demain c'est le mariage de ton frère... Tu lui enverras le bonjour de ma part. » Il leva la tête de son livre de médecine et me répondit tout souriant « Non, puisse que tu viens avec moi. » J'allais à Rome, la capitale de l'Italie. Combien de fois j'avais rêvé d'y aller un jour. Bien entendu je n'ai pas dis non. « Pourquoi moi ? » Il haussa les épaules et me dit « Parce que malgré tes airs de petite fille pourrie gâtée sans cervelle, tu es super intelligente, belle, tu as de la conversation et... j'ai besoin d'une cavalière, pour danser. Tu sais danser j'espère. » Un fou rire me prit et d'ailleurs je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire « Danser ? Toi ? J'aimerais bien voir ça. Quant à moi, je danse comme un sac... » « Tu veux peut-être une démonstration, comme ça je pourrais voir tes talents de danseuse. » Il se leva et s'approcha de moi pour poser une main sur ma hanche et prendre ma main avec l'autre. Gênée ? Oui je l'étais étant donné que sa secrétaire nous regardait d'un mauvais oeil de l'autre côté de la pièce. « T'es un malade Alek'. Marie-France nous regarde d'un oeil bizarre là bas. » Il sourit amusé puis se colla contre moi en me disant « Ont s'en fou. Je te montres juste comme je danse à la perfection. » C'est vrai qu'il dansait merveilleusement bien. Quant à moi, j'avais du mal à m'en sortir. Je savais que je dansais aussi bien que je faisais la cuisine, c'est à dire très mal. Mais apparemment mes pas étaient au goûts de Alek'. Et j'en étais plus qu’heureuse car le simple fait de savoir que j'allais pendant deux jours être à Rome me remplissais de joie.
Nous sommes donc allés à Rome. C'était superbe, jamais je n'ai vu une ville aussi belle de toute ma vie, à part Paris bien entendu. C'est là que nous avons partagés notre premier baiser et je peux vous dire qu'il était tendre, passionné et doux à la fois. J'étais amoureuse, c'était clair dans ma tête, a-mou-reu-se.

Quelques mois après, il m'a demandé en fiançailles. Demande que je n'ai pas refusée, bien entendu. J'ai habité chez lui... Pendant des années nous étions un des couples les plus populaires de Saint-Pétersbourg où nous travaillons et où nous habitions. Mais toute histoire à une fin et c'est bien malheureusement. Trop de travail, pour l'un comme pour l'autre.. Nous n'avons probablement pas dû supporter notre éloignement et d'un commun accord, nous avons décidés de rompre. Une rupture douloureuse autant pour lui que pour moi.

Je suis revenue à Paris pour retrouver mes ressources. Mais il me manque... il manque à ma vie... D'ailleurs, en parlant de ça, je ne suis pas au courant, mais il vient de frapper à ma porte. Peut-on consevoir de vivre toute sa vie avec la personne qu'on aime, mais aussi avec la personne qui nous suppervise au travail ? Je n'ai pas encore la réponse à toutes mes questions... tout ce que je sais, c'est que mon premier amour vient de refaire surface. Je ne sais plus où donner de la tête...