abel sirius

hawk-buckley

PRÉNOM(S) Un prénom reste une appellation comme une autre que le jeune homme prend au delà du je m'en foutisme grandissant. Son prénom usuel à savoir Abel veut toute son origine à la passion littéraire de sa mère, quand au second prénom Sirius il se révèle être celui de son grand-père paternel, un devoir de mémoire ni plus ni moins. NOM DE FAMILLE Contrairement à beaucoup de couples, ses parents ne se sont jamais mariés d'où l'origine de ses deux patronymes. AGE Actuellement agé de vingt-quatre années, elle est pas belle la vie ? DATE DE NAISSANCE Abel à vu le jour un certain trente juillet.ORIGINE(S) Issu d'un père américain, et d'une mère française, il est donc franco-américain. Il porte bien entendu les deux nationalités. LIEU DE NAISSANCE New York, Etats-Unis. ÉTUDES/MÉTIER Vétérinaire de métier. GROUPE Travailleurs. SITUATION En Divorcé depuis près d'une année, il est donc célibataire.

✎ CARACTÈRE Enjôleur, le jeune homme sait très bien où il met les pieds Ϟ fin observateur on a bien souvent du mal à lire en lui de manière très claire Ϟ silencieux, ses prunelles azuréennes font généralement le reste Ϟ patient il en faut généralement beaucoup pour le pousser à bout Ϟ social dans tous les sens du terme, son sourire est très communicatif Ϟ franc Ϟ peut de temps à autres être froid, mais cela cache bien des causes dont il n’a généralement pas envie de parler Ϟ fidèle Ϟ légèrement impulsif mais tout dépend de la situation précise Ϟ confiant Ϟ c’est une personnage protectrice tout étant logique ; c’est-à-dire qu’il n’est pas du genre à étouffer autrui Ϟ abel possède un sens doux avec les animaux, un don qui lui a permit d’en faire son métier Ϟ sportif Ϟ ronchon lorsque quelques choses lui déplait Ϟ rancunier, il ne pardonne pas très facilement à ses proches mais encore une fois tout dépend de qui Ϟ accorde très peu sa confiance Ϟ méfiant Ϟ jaloux car au fond nous le sommes tous Ϟ joueur Ϟ apprécie les défis Ϟ c’est un joueur extrêmement fair-play Ϟ je m’en foutiste, il ne se prend pas la tête pour des broutilles ridicules Ϟ compréhensible, il est toujours à l’écoute de sa fille de bientôt cinq années et des membres de son entourage également Ϟ réservé, on lui attribue souvent des airs lunatique et impassible Ϟ déterminée, le jeune homme l’a toujours été même si l’existence n’est pas simple Ϟ à des tendances aux pensées péjoratives depuis la mort de sa sœur Ϟ amusant, c’est un grand narquois pas excellence Ϟ ambitieux Ϟ fiable Ϟ franc et direct, il dit toujours ce qu’il pense et parfois dans le feu de l’action sans se préoccuper des conséquences Ϟ professionnel, son travail est très important pour lui Ϟ calme, il est toujours présent pour soutenir et pousser au maximum les êtes qui lui sont chers Ϟ romantique, lorsqu’il est réellement amoureux Ϟ abel est un personnage implicite et subtile, à vous d’ouvrir l’œil pour le cerner Ϟ il n’est pas très ponctuel et possède un humour bien à lui Ϟ souriant Ϟ (…)

✎ PHYSIQUE Une chevelure légèrement en bataille, une crinière noire de jais en d’autres termes Ϟ des prunelles azuréennes qui parfois semblent plus en significations que des propres mots Ϟ une frimousse d’ange déchu ou encore des airs d’ange rigolard ? Tout à fait Abel Ϟ il possède un corps musclé et il le faut le dire cela s’entretient bien évidement Ϟ une barbe naissante, alors dans ce domaine c’est souvent selon ses envies de la semaine Ϟ toujours bien habillé, il lui arrive souvent d’être à l’aise comme Blaise Ϟ grand, comme si cela ne se voyait pas Ϟ enfin bref une allure ténébreuse pour un brin bien compliqué.

✎ POUR VOUS, PARIS C'EST SURTOUT...

La ville de l'amour Le charme français Le luxe La capitale de la mode Une expérience fabuleuse Une ville comme les autres La plus belle ville du monde La ville de la fête Une destination agréable pour s'évader Un pur enchantement Un endroit banal sur Terre Votre ville natale adorée Des paysages magnifiques Un endroit détestable

✎ PARIS, OUI, MAIS POURQUOI ?

Beaucoup de raisons pourraient être à l’origine première de sa venue dans la capitale française. Elles pourraient venir du fait que sa mère est originaire de la ville depuis sa naissance ou encore pour des études qu’il aurait préféré faire selon les lois françaises, mais cela n’a rien avoir avec cela. Pour être honnête, passer tous les jours devant les décombres des attentats du onze septembre était une véritable déchirure pour ses parents mais également pour le reste de sa fratrie. En effet, la sœur ainé d’Abel à trouvée la mort dans les attentats de deux mille un et dès lors les parents Hawk-Buckley ont décidés de déménager pour Paris où autrefois vécue sa figure maternelle. Il vit à Paris depuis ses treize années, et il ne regrette aucunement la décision de ses parents quand bien même il retourne de temps en temps aux Etats Unis.

Il se souvenait encore des rires qui fusaient dans les couloirs de la maison moderne de son enfance. Il se souvenait encore des paroles douces qu’elle pouvait lui dire à l’oreille tel un chuchotement de comptine pour enfant. C’était étrange tous ses vestiges antérieurs, c’était étrange de penser qu’un jour elle viendrait à mourir dans d’atroces souffrances. A l’époque des attaques terroristes il n’était qu’un gamin de treize ans à qui on avait arraché sa sœur d’a peine dix-huit ans, un jour qui l’est venu à maudire avec le temps. D’une manière tout à fait ordinaire, les années avait défilées en emportant avec elle le visage éblouissant de son ainée, il ne lui restait désormais que le bien être sincère et véridique de leurs souvenirs communs et passés. Il descendait les escaliers du logement qu’il partageait avec sa cadette, cette dernière l’appelant d’une voix tout à fait calme et légèrement ailleurs. Il bifurqua au coin du couloir pour entrer dans la chambre de Garance et s’appuya légèrement contre l’encadrement de la porte. « Alors besoin d’un coup de pouce du grand frère apparemment ? ». Lui avait il dit de manière tout à fait moqueuse histoire de la taquiner, mais à en juger par l’expression de son visage la jeune femme ne semblait pas d’humeur à rire. « Ouais je dois avouer que j’ai toujours besoin de ton aide ce n’est pas nouveau. ». Elle passa une main nerveuse dans ses cheveux légèrement emmêlés, et soupira devant la lettre qu’elle venait de recevoir. Les yeux rivaient sur le papier écrit d’une plume légère et appliquée, Abel s’installa aux bords du lit de sa petite sœur tout en prenant la lettre en sa possession. Un mouvement rapide que la brunette ne put esquiver cependant, alors pour montrer son mécontentement elle soupira un peu plus. En parcourant les lignes qu’abritait la missive, le vétérinaire compris rapidement que sa sœur avait des soucis financiers avec ses études. En effet, Garance étudiait la peinture à l’école des Beaux Arts et donc les sommes ne découlaient pas non plus du ciel, ils avaient passés l’âge de croire aux nombreuses miracles quoi que. Le père Buckley prenait les frais scolaire à ses frais bien entendu mais les stages en plus demeurait à la charge de la dernière de fratrie. Le brun aux reflets de jais replia la lettre et la tendit à son interlocutrice. « Pourquoi tu ne m’en as pas parlé avant ? ». Avait il déclaré tout en la toisant d’une œillade interrogatrice. Il savait par instinct naturel mais surtout fraternel que Garance ne voulait guère causer de ses soucis financiers et encore de ses problèmes. Néanmoins, la personne d’Abel savait toujours être à son écoute et leur complicité demeurait sans faille bien que quelques disputes ne serait pas à mettre de coté. « Je sais que j’aurais du t’en parler, mais tu sais avec Clary on ne sait jamais ce qui peut arriver. Et puis, j’aime pas causer les ennuis … ». « Comme si tu étais un ennuis Grace, franchement ? ». Il secoua le visage comme pour balayer les dires idiots de sa frangine, un sourire pendu à sa bouche. Tout en le tapant sur l’épaule d’une manière amusé et réprobatrice elle reprit en mêlant son rire au sien. « Arrête de te moquer ! T’es réellement rageant parfois ! ». Une minute de silence s’imposa entre eux, puis les rires reprirent de nouveaux. Leur entente en allait toujours ainsi : ils se protégeaient mutuellement, étaient présent l’un pour l’autre, et ce sans aucune méfiance. « Je m’occupe de régler ton stage de peinture, alors ne t’inquiète pas. ». Lui avait il dit d’une intonation rassurante tout en se relevant pour quitter le territoire bien féminin de sa sœur. « Abel … ». Le concerné se retourna légèrement en attendant la réaction de Grace - un surnom qui était resté avec le temps -. « Tu penses retourner sur la tombe de Joey ? ». Joey. Quatre lettres. Un surnom et pas n’importe lequel puisqu’il s’agissait du surnom de leur sœur ainée décédée depuis près de dix ans. Johanna - de son appellation d’origine - avait toujours souhaité le meilleur pour les gens peuplant son existence et en particulier pour leur cadette. Baissant légèrement son regard sur le planché, Abel se surprit à repenser à la dernière journée qu’il avait passé en compagnie de Joey. Puis il reporta son attention primaire sur l’universitaire en arts et esquissa un rictus de sourire aux commissures de ses lèvres. « Bientôt. ». Ils échangèrent un regard entendu, Grace repartant derechef dans occupations quotidiennes à savoir lire de nombreux bouquins ou dans ses esquisses de dessin. « Grace, sache qu’elle aurait été très fière de sa petite sœur. ». L’artiste qu’elle était en cette heure rétorqua avec un énième sourire. « J’espère. ».

« Papa ! Viens voir ! ». Cria une petite voix cristalline à l’autre bout de l’appartement. Ce dernier avait beau être grand, il n’en demeurait pas moins que la voix de la petite Clary se faisait entendre. Laissant son ordinateur portable et ses rendez vous de coté, le vétérinaire pris le chemin de la cuisine et fronça légèrement les sourcils. La gamine était au téléphone avec sa mère sans aucune surprise. « Maman veut te parler … ». Avait elle dit tout en haussant les épaules, une moue adorable sur ses traits d’enfant malicieux. Clarissa tendit le téléphone à son paternel et repartie en direction du salon où elle comptait bien regarder la télévision en compagnie de la boule de poil à quatre pattes. Il esquissa un sourire attendrit par cette vision puis entama la conversation avec son ex femme. « Abel ? ». Le timbre de la jeune femme était mystérieux mais également embarrassé. Une fois de plus, il imaginait déjà la situation de cette dernière qui une fois de plus devait sortir avec ses amies, ou encore prendre du bon temps avec son nouveau compagnon de cœur. N’allait pas croire que le franco-américain en soit jaloux bien au contraire, seulement il ne pouvait pas concevoir qu’elle repousse encore le temps qu’elle devait passer avec sa propre fille. À l’époque de leur divorce, il avait été décidé que la petite vivrait avec son père, sa mère étant trop instable pour prendre soin de sa progéniture. « Oui je suis là, qu’est ce qu’il se passe ? ». Sa voix était sous réserve et extrêmement distante comme pour ne pas changer des vieilles habitudes. « Je ne vais pas pouvoir prendre Clary ce week end, je sais que tu préviens en retard mais je ne peux pas faire autrement … ». Il se terra un moment dans le silence avant de reprendre le même temps que précédemment. « Tu ne peux jamais faire autrement Anna. ». « J’ai mes raisons crois moi cette fois ! ». « Peu importe la raison, elle est ta fille et c’est important que tu passes un peu de temps avec elle. Enfin bref, la prochaine fois essaie de faire un effort. ». Il était lasse du comportement de la mère de sa petite fille, blasé de son attitude mais bon on ne referait jamais le monde en l’espace d’une journée. Quelques minutes plus tard, il mit fin au dialogue téléphonique avec elle et se dirigea vers le salon une tasse de caféine à la main dont il but une petite gorgée. Assise sur le canapé en cuir, Clarissa caressa affectueusement le golden retriever de la famille tout en regardant les dessins animés. Le Hawk-Buckley vint s’installer aux cotés de la petite blonde aux nombreux reflets de cuivre. « Maman ne viendra pas me chercher samedi c’est ça ? ». L’interrogea-t-elle tout en posant ses prunelles verdoyante sur son père, une petite expression déçue sur son petit visage. Doucement et avec prévenance, son père hocha doucement la tête. Il n’avait jamais mentit à Clarisse et ce n’était pas aujourd’hui qu’il le ferait. Il n’avait jamais discréditée Annabelle aux yeux de la petite car là n’était pas son éducation, loin de là. Le jeune homme pris la fillette dans ses bras pour la consoler et rassurer, un élan d’échange nécessaire pour apaiser son chagrin et ses craintes intérieures. « Cela ne change pas les sentiments que a maman pour toi ma puce, bien au contraire. Elle t’aime fort, seulement elle a quelques petits soucis qu’elle doit régler. ». Il sentit les mains de Clary le serrer fort contre elle, dès lui il lui caressa le dos pour la calmer tendrement. « Je t’aime papa. ». Il se recula légèrement et l’embrassa sur le sommet de son front tout en souriant avec sincérité. « Je t’aime aussi ma grande. ». La fillette rigola d’un large sourire, avant de refaire un câlin à l’être qu’elle chérissait le plus.

Les clients et leurs compagnons animaliers avaient défilés en toute hâte en cette matinée de juin, une matinée qui cependant c’était déroulé sans l’ombre d’un soucis comme toujours - ou presque -. Il sortait de son cabinet tout en prenant soin de fermer la porte à clef lorsque son cellulaire sonna de manière stridente au fond de sa poche. Le saisissant rapidement, Abel ne fut guère étonné de l’appel de son émetteur à savoir sa sœur qui une fois de plus lui demandait de venir la chercher. Il accepta bien évidement mais avant il devait faire un détour pour aller chercher sa fille à l’école. Une bonnes vingtaines de minutes plus tard, il descendit de sa voiture et s’avança vers le portail de l’école maternelle. Mains dans les poches de sa veste en cuir, l’ange rigolard toisa d’une œillade furtive les premiers enfants qui sortaient jusqu’à ce qu’il repèrent de ses yeux intenses la présence de Clary. Cette dernière courra en direction de son père qui la pris dans ses bras. « Tout s’est bien passé ce matin ? ». Lui avait il demandé avec intérêt et jovialité. La gamine hocha la tête avec une conviction et énergie tout en répondant avec contentement. « Oui, bien on prépare le spectacle de fin d’année et devine quoi ? Je vais jouer le petit prince. ». Un rire franc s’échappa des lèvres de la blondinette et son père suivit le mouvement. Alors qu’ils s’apprêtaient à quitter la place de l’établissement scolaire, une voix douce et communicative les interpela. « Abel ! ». L’interpellé se retourna derechef, et un large sourire se dessina sur son expression faciale. Clarissa sourit d’une façon tout à fait malicieuse et regarda tout à tour les deux adultes qui se toisaient d’une expression silencieuse. « Ca va Jamie ? ». La dénommée Jamie acquiesça d’un signe de tête en guise de réponse tout en reprenant son souffle. Jamie était une artiste, elle était professeur de français dans un collège avoisinant le quartier mais également la plus vieille amie du jeune homme. Ces derniers temps ils n’avaient pas réellement eu de moment de se voir, mais il semblerait bien qu’elle ait trouvée un instant. « Je suis contente de te voir, j’arrivais pas à te joindre entre les cours et les aléas non prévus. Salut ma belle ! ». Dit elle à l’attention de la gamine en l’embrassant sur la joue avant d’en faire de même avec sa figure paternelle. « Pas de soucis, mais néanmoins je suis ravis de te voir. ». Dans l’expression de la magnifique brune résonnait une fibre mystérieuse qu’il avait bien du mal à saisir. Avait elle changée ? Quelque chose n’allait pas peut être ? Enfin bref, il l’a trouvait totalement différente. Histoire de diriger ses songes vers d’autres vagues actuelles, Abel répliqua avec une intonation posée. « Ca vous dit un restaurant entre midi et deux ? ». Il arqua un sourcil en attendant une réponse commune qui bien entendu trouva preneuses avec les deux membres féminins. (…) Une heure et demie plus tard, c’était ensemble qu’ils avaient ramenés la petite à l’école. Un dernier bisou, un dernier signe de la main avant que l’attention de sa fille ne soit attiré par ses camarades. Il sourit en la voyant, cela lui faisait plaisir de la voir s’épanouir autant que possible. « Clary a grandit depuis la dernière fois. Elle change vite. ». La voix apaisante de Jamie semblait avoir perdu de sa positivité et de sa conviction. Il tourna son regard sur elle et comme il s’en doutait elle observait le vide. Dès lors, le Hawk-Buckley déposa sa main sur la sienne comme pour la tirer de sa songerie passagère. « Jasmine s’il y a quelques choses qui ne va pas tu m’en parlerais ? ». Une expression interrogatrice accompagné sa question, et cela suffit à la belle enseignante qui posa ses yeux sur lui. Un silence de plus, et un signe de tête en guise de réponse cependant l’ange rigolard n’était pas du tout convaincu. Il connaissait assez bien sa camarade d’antan pour savoir qu’elle prônait le mensonge envers lui, comme si elle fuyait une réalité. Seulement, il ne pouvait pas la forcer à tout lui divulguer la teneur de son inquiétude. Il la serra contre lui afin de lui faire comprendre qu’il la soutenait et qu’il serait toujours présente pour elle. « Si jamais tu veux parlé tu sais que je suis là, d’accord. ». Abel avait chuchotait cette assertion à son oreille puis se dégagea doucement de Jasmine. « Je dois retourner bosser mais on se voit rapidement ma belle ! ». Elle recouvra un sourire véridique sur ses traits satinés, et répondit. « Compte sur moi ! A plus. ». Il s’en retourna vers le parking, laissant une Jamie en dilemme entre ses sentiments amoureux pour son ami et ses sentiments amicaux à son égard. Alors pile ou face ?