Mathieu Germain

Delacroix

PRÉNOM(S) ▪ Mes parents c'était des rigolo, ouais, ils n’étaient pas le genre à faire dans la dentelle, seulement tout les prénoms qu'ils avaient pu proposer n'était pas autorisé par la loi... Ouais, heureusement quand on y pense, ce fut ma grand-mère qui décida pour eux parce que, ouais, ça aurait été juste horrible sinon, donc je m'appelle Mathieu Germain. Encore c'est ma petite mamie qui a choisit de me prénommé ainsi et uniquement parce que Germain était le prénom de son père à elle. Et Mathieu... Parce que euuuuh... C'était à la mode il parait. NOM DE FAMILLE ▪ Je fais partie d'une belle et grande famille française seulement à Londres, mon nom est tout de même bien connu, surtout grâce à mon père. Qui n'a jamais gouté à la cuisine des Delacroix dans la belle capitale de l'Angleterre ? AGE ▪ Malheureusement, je prends de l'année tout les ans, et ça ne va pas en s'arrangeant... Je commence légèrement à me faire vieux... Ah la la, si ma grand-mère m'entendait dire ça alors que je n'ai que trente-deux ans... Elle s'en retournerait dans sa tombe. DATE DE NAISSANCE ▪ Je suis né un beau jour d'hiver. En fait, je ne sais absolument pas à quoi ressemblait la météo. Tout ce que je sais, c'est ce que mes parents m'ont raconté, c'est à dire des choses que je n'avais pas vraiment envie de savoir. Mon acte de naissance indique que c'est le dix mars de l'année mille neuf cent soixante dix-neuf que j'ai vu le jour. Chose que mes parents, aussi tarés qu'ils puissent être, n'oublient jamais. ORIGINE(S) ▪ Je suis exclusivement français, d'aussi loin que je puisse remonter, mes ancêtres ont toujours été français. Mon père est natif du sud, Nice pour être plus précis, et ma maman, elle, vient de Paris même. Elle a d'ailleurs grandis dans la banlieue de la belle capitale. LIEU DE NAISSANCE ▪ Quand ma mère est tombée enceinte, mon père et ma mère vivaient déjà depuis quelques temps à Paris. En fait, c'est après ma naissance que mon père a lancé son affaire dans la ville de Londres. J'ai donc eu l'immense honneur de naitre à Paris. ÉTUDES/MÉTIER ▪ Je suis videur. Ouais, un de ces mecs chargé de la sécurité dans les endroits où on en a besoin. Moi, je suis videur dans une boite de nuit londonienne. GROUPE ▪ Je fais partie des travailleurs. SITUATION ▪ Je suis célibataire mais... J'ai une femme en vu, une femme mariée bien sur, il faut toujours que ce genre de chose me tombe dessus. Mais enfin... Quand on aime hein...

✎ CARACTÈRE indépendant, courageux, gentil, jaloux, rancunier, déterminé, blagueur, dragueur, impulsif, possessif, joueur, original, imaginatif, têtu, adroit, franc, souriant, sociable, romantique, généreux, non prêteur, acharné, sérieux quand il le veut, fort, sportif, passionné, attentif, colérique, sait faire preuve de douceur, très affectueux, tactile, à l'écoute des autres, assez calme dans l'ensemble, peu faire preuve de dureté, très souvent optimiste, râleur, assez peu prise de tête...

✎ PHYSIQUE brun clair voir blond coupé court, yeux bleu-verts, musculature relativement développée, un bon mètre quatre-vingt, une soixantaine de kilos, peau légèrement hâlée, dentition parfaite, un tatouage sur le biceps droit, souvent mal rasé, sourcils broussailleux, il fut un temps où il avait une oreille percé mais le trou est rebouché depuis, zéro piercings il déteste cela rien qu'à la vu, style vestimentaire assez sobre, assez ouvert en matière de fringues.

✎ POUR VOUS, PARIS C'EST SURTOUT...

Cochez toutes les expressions qui se rapportent à votre vision de la ville de Paris. Pour cocher une réponse, il vous suffit de rajouter le terme "checked" entre les termes value="personnage" et type="checkbox".
La ville de l'amour Le charme français Le luxe La capitale de la mode Une expérience fabuleuse Une ville comme les autres La plus belle ville du monde La ville de la fête Une destination agréable pour s'évader Un pur enchantement Un endroit banal sur Terre Votre ville natale adorée Des paysages magnifiques Un endroit détestable

✎ PARIS, OUI, MAIS POURQUOI ?

Expliquez la raison pour laquelle votre personnage est aujourd'hui dans la Capitale : parce qu'il y est né, par choix, par nécessité, comme touriste, pour travailler, pour étudier, contre son gré, etc... Votre réponse doit faire un minimum de cinq lignes et doit être précise et complète.
La vie est parfois un peu louche. Oui, je suis né à Paris, dans la magnifique capitale de la France. Je n'ai pas longtemps vécu en France. Assez en tout cas pour adoré cette ville. Je n'attache pas beaucoup d'importance à la ville où je vis. Mais Paris c'est ma ville natale. Quoiqu'il en soit, si j'ai grandis et vécu longtemps à Londres en Angleterre ou mon père tient de délicieux restaurant français. Je ne pensais pas revenir un jour en France pour ce genre de raison. En effet, aujourd'hui, si je séjourne à Paris, c'est pour la seule et unique raison que je suis amoureux. Amoureux d'une femme que j'ai appris à connaitre pendant quelques mois et qui a décidé de partir bien précipitamment retrouver son mari à Paris. Alors voilà, je suis là pour elle. Pour lui faire comprendre ce que je ressens pour elle, pour la conquérir alors que son mari n'est qu'un crétin. Je ne le connais pas, mais ça ne peux qu'être un crétin, je ne vois pas d'autres raisons valables. En tout cas, je mentirais si je disais que je suis ici contre mon gré et que je n'ai pas trouvé ma place. Le français étant ma langue maternelle, je n'ai pas eu beaucoup de difficulté pour me fondre dans la masse. Je me surprends même parfois à ouvrir le journal sur les petites annonces, regardant les appartements proposés... Bref, Paris est une belle ville où il fait bon vivre et même si j'y suis avant tout pour essayer d'empêcher Victoire de retomber dans les bras de son mari, je suis bien ici.

Cher Mathieu,
Je sais que je pourrais communiquer avec toi de bien d'autres manières mais les "lettres" (ou carte postale dans ton cas), c'est un peu notre truc. Ça fait combien maintenant ? Dix ans que t'es partit, et t'es jamais revenu me voir... Tu vois je peux comprendre, on se dit, ouais, à dix ans, on est jeune, on peut pas trop faire ce qu'on veut comme on veut, parce que nous sommes encore affreusement dépendants de nos parents. MAIS A VINGT ANS !! Tu m'envoies une jolie carte tous les ans quand tu rends visite à ta grand-mère dans le sud... C'est bien gentil mais c'est aussi bien peu... Si je t’envoie cette lettre Mathieu, ce n'est pas pour me plaindre, non loin de là. En fait, j'ai besoin de toi. Je viens d'avoir mon bac et on m'a conseillé de venir apprendre ta nouvelle langue avant de me lancer dans les études que je compte faire. Qui mieux que mon vieux Mathou pourrait m'héberger le temps que j’apprenne à parler l'anglais convenablement ? Tu n'as pas le choix Mathieu. Ta mère m'a dit que tu vivais seul depuis quelques mois dans ton appartement, y'a bien un peu de place pour ton ex-ancienne meilleure amie ? Il semble que nos mères sont de bien meilleures amies entre elles que nous l'avons été ces dix dernières années. Quoiqu'il en soit, la seule façon de te faire pardonner c'est de m'accepter dans ton humble demeure pour rattraper tout le temps perdue. Téléphone-moi rapidement, j'ai laissé mon numéro à ta mère.
A bientôt mon gros.

Juliette.

Mathieu replia lentement la lettre, trop content d'avoir des nouvelles concrètes de la belle Juliette. Ils étaient encore tout jeunes quand ils c'étaient rencontrés mais leurs mères étaient à l'époque des amies de longue date. Elles devaient se connaitre depuis une éternité déjà quand naissent. Les photos qu'il avait pu voir de sa mère avec la mère de Juliette remontaient à l'enfance. C'était un peu pareil pour Mathieu et sa jeune amie. Ils avaient deux années d'écart mais ils avaient toujours été très proches. Faisant tout et n'importe quoi quand bon leur semblait. Déménager fut compliqué... Mathieu en voulu beaucoup à ses parents au début. Beaucoup plus que son jeune frère qui lui avait paru tout excité dès qu'ils avaient commencé à parler de la belle capitale anglaise... Chacun son truc pensa Mathieu. Il posa la lettre de Juliette sur un tas d'autres lettres, des factures pour la plupart. Bien sur qu'il hébergerait la belle. Elle lui manquait terriblement, même si beaucoup d'eau avait coulé sous les ponts depuis. Ils étaient d'une complicité sans pareil à l'époque et Mathieu se rappellerait sans doute toujours de la folie dont faisait preuve la petite fille. Inventant encore et toujours des choses inimaginables...

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« JULIETTE ! C'EST QUOI CE BORDEL ! » Il entra lentement dans l'appartement, avec précaution, la peur au ventre de découvrir quelque chose qu'il n'avait pas envie de voir. Peut-être le corps inanimé de la jeune fille, ou même pire... Juliette avec un garçon en action dans son lit. Mathieu frissonna à cette pensée... Jamais il n'aurait dû penser à cela... Maintenant il allait faire des cauchemars. Il évoluait lentement parmi le bordel qui ornait le sol. Une soirée ! Il lui avait laissé l'appartement une soirée suivit d'une nuit entière et elle avait réussit à tout saccager. Il arriva devant la chambre de la jeune fille, priant sincèrement pour ne pas voir ne serait-ce qu'un millimètre carré de peau qu'il ne voulait pas voir. Posant la main sur la porte, il inspira un coup avant de sursauter. Quelqu'un venait d'ouvrir la porte de l'intérieur... Il osa regarder malgré tout. Juliette était en train de ranger sa garde-robe tranquillement. Mathieu s'énerva alors. « T'as foutu quoi ?! T'as invité des gens ici ? » Cria t-il pratiquement. Il avait cette fâcheuse tendance à se mettre en colère pour très peu. Surtout quand on organisait une fête dans SON appartement et qu'il n'y était pas invité. « Calme, stresse pas. J'ai voulu ranger un peu. » Il rigola, ranger un peu ?! Ils ne devaient pas avoir la même définition du mot "ranger". Il retourna dans la pièce principale, Juliette sur ses talons. « Je veux que ce soit nickel quand je rentre ce soir ! » Sur ces mots il sortit en claquant la porte.

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Une année entière passa. La vie à deux fut particulièrement explosive pour les deux jeunes gens. Ils étaient heureux de se retrouver. Pas de doutes là dessus. Non, ils étaient particulièrement content mais ils avaient dû se confronter à un bon nombre de conflits. Le programme de la télévision, qui prendrait sa douche en premier (le second était pratiquement sûr de se voir prendre une douche froide), qui prendrait du temps pour faire les coursez. Un bon nombre de choses quotidiennes et sans grande importance mais qui provoquait de grands éclats de voix dans le petit appartement. Bien sur, ils n'avaient pas fait que s'engueuler. Juliette profitait beaucoup trop du fait que le jeune homme parlait français. Trop content de pouvoir l'exaspérer, il se mit à ne lui parler qu'en anglais au milieu de son séjour, ce qui l'aida sans doute un peu plus. Sans ce soutien francophone, elle fut obligée de faire de vrais efforts si bien qu'en six mois, l'affaire était réglée. Trainant les valises de la demoiselle, Mathieu restait fidèle à lui même et ne pu s'empêcher de lui faire remarquer qu'il n'était pas un domestique. Bien sur, Juliette trouvait cela beaucoup plus amusant. Le temps de la laisser arriva rapidement. Il regretta quelque peu sa mauvaise humeur dont il avait fait preuve quelques minutes plus tôt. Juliette se retourna en souriant. « T'attends pas dix ans avant de me donner de vrais nouvelles d'accord ? » demanda t-elle en plaisantant. Elle le prit dans ses bras, le regard quelques peu humide. « Allez, fait pas cette tête la ! Je sais que je vais te manquer mais tu survivras. » Elle lui asséna un coup de poing dans l'épaule, un coup amical mais dur histoire de montrer son mécontentement. « Salut mon grand, pas de bêtises ! » Juliette lui lança un clin d’œil avant de partir pour de bon pour la belle ville lumière.

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« Non réellement Victoire, tu vas vraiment partir à Paris rejoindre ce connard ? » Mathieu y allait un peu fort sur les mots d'accord mais... Y avait-il un autre mot après tout ? Elle n'allait tout de même pas repartir avec lui après ça ! Ce gars, il ignorait bien qui ça pouvait être, ne lui avait même pas donné ne serait-ce qu'un petit signe de vie... Non, il ne comprenait décidément pas le comportement de Victoire à ce moment là. « Arrête un peu Mathieu ! Puis c'est pas un connard c'est mon mari et il a un prénom c'est Nathan ! » Son mari, ouais c'est ça. Il pouvait bien être qui il voulait sur le papier, Mathieu ne cautionnait pas du tout ce qui était en train de se passer. Il avait rencontré la belle un soir dans la boite où il travaillait. C'était assez comique pour le coup de voir comment les choses c'était passé. Le fait est que Mathieu était tout simplement mordu de cette fille et il ne pouvait pas la laisser partir comme ça juste pour un petit crétin qui ne semblait pas voir la femme fabuleuse qu'il avait. « Il ta laissé Victoire ! » C'était pas cool, il n'avait pas le droit de lui balancer des trucs comme ça... Le truc, c'est qu'il n'était pas du tout content, non pas du tout, et dans ces cas là, le jeune garçon n'était pas du genre à mâcher ses mots. « Stop je t'arrête tout de suite c'est moi qui est partie, je ne peux m'en prendre qu'à moi ! Je dois aller réparer mes erreurs ! Il faut que je les répare ! » Et elle avait eu raison de partir ! Mathieu avait été là, il l'avait vu pleurer, il l'avait consolé, il ne pouvait tout simplement pas croire qu'elle allait retourner dans les bras de ce mec, c'était son mari d'accord mais... Et lui alors ? Qu'elle était la place de Mathieu dans tout ça ? Il ne pouvait plus oublier ce qu'il avait vécu avec elle, c'était trop tard maintenant... Il décida de mettre toutes les chances de son côté. « Victoire s'il t’aimait vraiment il serait venu te chercher, il aurait essayé de savoir où t'étais, est-ce qu'il l'a fait ? Non. Est-ce qu'il a demandé des nouvelles à tes parents ou autres ? Non. Moi moi, je l'aurais fait ! » Oui, il aurait été prêt à tout pour savoir si elle allait bien, où elle était, bref, pour la retrouver. Il n'avait jamais entendu la belle parler d'une reprise de contact infime. Et elle voulait retourner avec ce mec, comme si c'était elle qui avait fait une erreur. Non c'était lui, Mathieu en était totalement convaincu. Il fit sans doute une chose vraiment stupide mais... Il ne pouvait tout simplement pas la laisser partir comme ça. Il s'approcha d'elle, prit son visage entre ses grandes mains. Il plongea alors ses yeux dans le magnifique regard de la demoiselle. Mathieu aurait pu rester dans cette position pour une éternité mais elle baissa la tête... « Fais pas ça Mathieu s'il te plaît n'utilise pas cette carte contre moi ! » Que pouvait-il faire alors ? Il ne pouvait pas la laisser y aller. Elle allait être déçue, il en était sûr. Alors pourquoi y allait-elle ?! Elle ne pouvait pas croire que tout irait bien, pas après tout ce silence ! « Victoire je veux pas te perdre, surtout si c'est pour lui ! Il te mérite pas ! » Mathieu ne savait pas qui était cet homme mais il était sûr d'une chose. Il n'était pas assez bien pour Victoire. Elle méritait beaucoup mieux. Quelqu'un qui s'inquiète quand elle part pour un autre pays sur un coup de tête ! « Ça t'en sais rien... » Comme si c'était trop dur à deviner... Ça l'énervait... S'il avait eu son mari en face de lui, il l'aurait volontiers défiguré ! Il pouvait dire n'importe quoi... Elle était sûre d'elle, elle était d'ailleurs déjà en train de partir. La panique s'empara alors du jeune homme quand elle annonça. « C'est peut être moi qui le mérite pas, et puis je suis désolée mais merde Mathieu te mêle plus de ça s'il te plaît pour moi ! » Pour elle, pour elle, il était prêt à tout, sauf à la laisser entre les griffes de ce mec... Il la regarda fermer la porte, impuissant. « Mais je t'aime Victoire... je peux pas t'abandonner merde ! » Dit-il dans un murmure à peine audible. Oui, il l'aimait, il en était sûr maintenant...

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« POUR UNE NANA ! T'aurais pu revenir à Paris n'importe quand pour me rendre visite et tu décides enfin à te bouger pour une FILLE ! » Juliette rigola... Il ne voyait pas du tout ce qu'il pouvait y avoir de drôle. En fait, tout avait été très vite dans la tête de Mathieu quand Victoire avait passé la porte de son appartement, il avait prit sa décision le soir même. Il était temps de reprendre le chemin de sa ville natale et qui mieux que Juliette pouvait l'aider à ne pas finir dans la rue ? Bon d'accord, il ne l'avait pas vraiment prévenu, il était arrivé comme ça, devant la porte de son appartement, son sac de voyage sur le dos, à l'improviste. Mais pouvait-on vraiment lui en vouloir ? Il ne savait plus quoi faire... Il était bien décidé à faire comprendre à sa belle blonde qu'il l'aimait et que son mari bah... Il ne l’aimait pas autant que lui pouvait l'aimer. En fait, il n’en savait rien. Tout ce qu'il savait c'est qu'il était assez con pour laisser sa femme seule, sans prendre de nouvelles pendant huit mois... Qui pouvait faire ça ? Mathieu ne pourrait jamais faire une chose pareille, jamais, surement pas à Victoire, Victoire était belle, Victoire était gentille, Victoire était un vrai rayon de soleil, on ne pouvait pas faire ça à une fille comme elle. Elle ne méritait pas ce genre de traitement. Mathieu regarda sa jeune amie et répondit simplement. « Ouais. » Elle rigola de plus belle, comme si ce qu'elle venait de dire était amusant... « Si tu voyais ta gueule mon vieux... » Puis elle ajouta plus sérieusement. « T'as de la chance j'ai une chambre de libre, tu restes autant que tu le souhaites, j'espère que cette nana mérite ce que tu fais Mathieu. » Juliette était comme une sœur pour elle. Il avait un peu grandit avec elle. Mathieu, son frère et Juliette étaient un peu comme une petite famille. Et puis... Dans une famille on s'entraide non ? Il était heureux d'être ici, il n'avait pas revu Juliette en chair et en os depuis deux ans au moins. Bien sûr, il y avait skype mais ce n'était pas pareil... Là, il pouvait l'embêter pour de vrai !