Elle ne méritait pas de mourir. Pas de cette façon. Pas maintenant., disait l'une de ses plus vieilles amies. J'avais vingt ans. Jeune, Fêtarde qui s'amuse beaucoup trop avec ses amis, c'est tout ce que j'étais bien avant ça. J'adorais la moto même trop. J'en possédais une d'ailleurs. Une triumph noir jusqu'aux gentes. Mes amis me surnommaient Lara Croft. Un vieux délire sans trop d'importances aux vus de tout les autres. Après une soirée bien arrosée dans un pub, à Londres, je suis rentrée en moto. Épuisée et tourmentée, je roulais beaucoup trop vite qu'à la normale. Pourtant, à mon air, ça ne me dérange pas plus que ça. Je slalomais entre les voitures. J'entendais vaguement le bruit autour de moi. Les différents klaxons, les hurlements des personnes non-content. Je n'avais plus rien à faire. Je voulais rentrer chez moi. C'est au moment que l'on attend le moins, qu'un accident se produit. Pas louper. Un camion me barra la route. J'essayais de freiner mais rien y fait, la moto s'arrêta brusquement. Un bruit sourd retentit. Avec la vitesse, j'ai été projeté dans le camion. Et puis, plus rien. Néan totale. - quelques jours après - C'était trop tard. Le choc était trop brutale pour que je me réveille. Je n'étais plus vivante. Et il fallait bien le croire. Mes parents ont été prévenu. J'avais imaginé la tête de ma mère, les larmes coulant à flot. Mon père la soutenant. Mais c'était trop dure. Mes parents et moi étions très proches. Ce sont eux qui m'ont donné la vie. Et la vie m'a prise beaucoup plus tôt. Alors je retirais cette image de ma tête. A jamais. Pourtant, un miracle se produisit. Allongée sur une table de la morgue. Complètement nue. Un souffle d'air traversa mes narines. Ainsi que ma trachée. Finissant par mes poumons. Une grande bouffée d'oxygène me fit ouvrir les yeux. Je revenais la vie. Et je ne saurais comment l'expliquer. Effrayée et frigorifiée, mes bras collés sur ma poitrine, j'enfilais une blouse qui trainait par ci par là. Et sortis. Je longeais les murs. Le silence était à son comble à l'étage. Aucun bruit de pas à l'horizon. Plus je rejoignais la sortie, plus j'entendais une conversation nette. Mes parents et deux autres personnes. Mr et Mme Debussy, je vous pris de me suivre... Votre fille est là-bas.. Je vis de la lumière approché. Et me précipitai vers un recoin discret. J'attendais qu'ils me dépasse avant d'y aller. Je voulais voir la réaction quand ils ne verront aucun corps sur la table. Mais je ne rebrousserais pas chemin, me suis-je dis. Et continuais.

Alors que je rentrais dans une station. J'entendis mon vrai prénom sonné dans toute la gare. Adaïa-Jelena, cria un jeune homme. Je reconnaitrais cette voix entre mille. Celle de mon frère, Esteban. Paniquée, je regardais partout. A droite. A gauche. Et face à moi, je vis mon frère choqué et émerveillé à la fois. Je ne voulais absolument pas lui parler. Surtout après ce qui s'est passé à la morgue. Il m'aurait posé beaucoup trop de questions. Ça m'aurais énervé. Donc, je pris la fuite. Je courais. Vite. Le plus vite que possible. Mais il me suivait courant lui aussi. Adaïa ! Je t'en supplie. Arrête de courir. Je ne veux plus te voir partir. Qu'est ce qui s'est passée ? On te croyais...morte., essoufflé il s'arrêta un moment avant de continuer. Explique-moi ! Je t'écouterai. J't'en pris. Tous ce que je ne voulais pas entendre. ' Explique-moi .' Esteban, Tout comme toi, je sais rien...Rien du tout. Juste que j'étais morte mais me voila ressuscitée. Tu ne peux pas comprendre. Je préfère m'éloigner parce quoi qu'il arrive, si je te rejoins tu voudras en savoir plus. Et je ne veux pas.. Et j'ai encore pris la fuite.

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