DANY OLIVIA

THOMAS

PRÉNOM(S) ▪ Dany Olivia, voici mon nom qui sort de l'ordinaire. Dany, parce que c'est le prénom du père de ma mère qui est décédé quelques temps avant ma naissance et Olivia, je peux vous le dire en un mot ; Brillantine. Ma mère et mon père était les deux plus grand fan de ce film et de cette actrice. NOM DE FAMILLE ▪ Thomas, jolie nom de famille que je tiens de mon père. Il remonte à très loin j'imagine, mais je n'ai jamais été assez intéressée à tout remonter en arrière ! Trop loin et trop d'histoire barbante ! AGE ▪ Je viens tout juste de fêter mes vingt-cinq ans puisque cela semble tant t'intéresser ! DATE DE NAISSANCE ▪ Je suis née un vingt-trois juin mille neuf cent quatre-vingt six. ORIGINE(S) ▪ Mon père est née à Paris mais à rapidement du déménagé de là-bas lorsque son père s'était trouvé un nouveau job. Ma mère est une américaine pure race. Je suis donc un mélange français et anglais. Par contre, je n'ai jamais vécu à Paris jusqu'à ce jour. LIEU DE NAISSANCE ▪ New-York, États-Unis. La ville qui ne dort jamais, et de grosses cernes sous mes yeux par la même occasion ! ÉTUDES/MÉTIER ▪ Je suis en publicité. Je m'occupe de la vie publique de plusieurs célébrités. Si tu te saoules et cause de gros problème, je suis celle qui essaiera de te rendre moins idiot que tu ne l'est vraiment ! GROUPE ▪ Je suis une touriste. Je viens ici pour voir d'où je viens, ou plutôt d'où j'aurais pu venir si mes parents avaient décidés de venir s'installer ici. SITUATION ▪ Je pourrais vous en parler durant des heures, mais je vais vous dire que je suis dans une relation, malgré le fait qu'elle soit plus que très compliqué !

✎ CARACTÈRE Je suis une personne assez modeste mais je suis par contre assez impulsive. Je suis très dynamique, mais je suis énormément impatiente. On dit souvent de moi que je suis rusé, mais que je suis souvent enfantine. Je suis très indépendante, mais parfois je peux être très inquiète. Je suis le genre de fille à être très confiante, mais mon côté orgueilleux peut souvent prendre le dessus. Je suis une personne très sociable, mais je suis très indiscrète.

✎ PHYSIQUE Côté physique, je suis plutôt mince, mais je suis grande donc ça s'annule un peu. J'ai les yeux verts clairs, mais les cheveux blonds cendrés. J'ai le teint assez bronzé, mais lorsque je suis gênée, j'ai facilement le teint très rosé. Je n'ai aucune cicatrice apparente, ou accidentelle, mais j'ai plusieurs tatouages. Mon style vestimentaire est très féminin, mais j'adore le style casual lorsque je suis à la maison. Malgré mes jambes longues comme les mannequins, pour moi une paire de talons hauts est un must.

✎ POUR VOUS, PARIS C'EST SURTOUT...

Cochez toutes les expressions qui se rapportent à votre vision de la ville de Paris. Pour cocher une réponse, il vous suffit de rajouter le terme "checked" entre les termes value="personnage" et type="checkbox".
La ville de l'amour Le charme français Le luxe La capitale de la mode Une expérience fabuleuse Une ville comme les autres La plus belle ville du monde La ville de la fête Une destination agréable pour s'évader Un pur enchantement Un endroit banal sur Terre Votre ville natale adorée Des paysages magnifiques Un endroit détestable

✎ PARIS, OUI, MAIS POURQUOI ?

Expliquez la raison pour laquelle votre personnage est aujourd'hui dans la Capitale : parce qu'il y est né, par choix, par nécessité, comme touriste, pour travailler, pour étudier, contre son gré, etc... Votre réponse doit faire un minimum de cinq lignes et doit être précise et complète.
Pourquoi je suis à Paris ? À vrai dire, je suis venue ici pour en apprendra davantage sur mes origines. Mon père est né ici et moi je n'y ai jamais mis les pieds. J'ai rapidement appris à parler français lorsque j'étais petite, mais laissez-moi vous dire qu'à New-York, ce n'est pas autant nécessaire que cela ! Tant que tu sais parler rapidement tu te fais comprendre ! Donc, après avoir finalement obtenue des vacances de mon emploie en tant que publiciste, j'ai décidée de venir passer quelques temps ici, à Paris. Je sais que j'ai beaucoup à apprendre et à voir, mais je me laisse le temps. Et puis, dire que je fuis mon copain pourrait certainement être une deuxième raison, mais ça, il n'a pas à le savoir ! On peut garder ça comme secret entre nous deux, ça nous donnera un lien d'amitié encore plus fort crois moi !

Il était là, figé devant moi à regarder cet anneau sur mon doigt de la main gauche. Il voyait cette petite bague briller et il n’en revenait pas. C’était la première fois que je n’entendais pas mon père parler. « Papa, je sais que tu vas être frustré, j’ai toujours été une petite fille à tes yeux, mais je n’en suis plus une maintenant. J’ai grandie. » Je voulais lui faire comprendre mon choix, mais je voyais bien qu’il n’en avait rien à faire. Il avait voulu autre chose pour moi. Il aurait voulu que je termine le collège, que j’ai une grande job qui m’emmène loin et qu’un jour, à mes quarante ans qui sait, je décide de me marier avec un homme qui me méritait, qui en valait la peine et qui aurait fait quelque chose de sa vie. « Je ne suis pas frustré, mais déçu. Que vois-tu en lui ? C’est qu’un pauvre serveur. » Certes, Benjamin n’était pas le genre d’homme à aimer l’école, il travaillait dans un petit restaurant pour payer son appartement dans lequel il vivait aussi avec sa mère, mais je savais qu’il saurait me rendre heureuse, comme il le faisait déjà et c’était ce que je voulais faire comprendre à mon père. « Il me rend heureuse. Il me fait sourire, il me donne une raison de me lever à tous les jours … » Tout cela était vrai. Je savais qu’il serait l’homme de ma vie, celui avec qui je finirais mes jours, mais je ne voulais pas partir l’épouser sachant que mon père était contre cette relation, je n’aurais pas pu. « Tu m’as tout montré papa. Tu m’as appris à me débrouiller, tu m’as montré le bon du mauvais, ce que je devais faire et ce que je devais m’éloigner, je veux simplement que tu me fasses confiance quand je te dis que je sais ce que je fais. » Il était toujours là devant moi, mais je savais que mentalement, il était à une autre place. Il ne voulait pas entendre ce que j’avais à lui dire. Ma mère, elle avait été facile à convaincre, elle était heureuse pour moi, mais mon père, c’était le contraire. J’étais la petite fille à papa, c’est toujours ainsi qu’il m’a vu et maintenant que je voulais quitter le nid familial, il me voyait à nouveau comme la petite fille de cinq ans à qui il apprenait à faire du vélo au lieu de la femme de vingt ans que j’étais réellement. « Dis moi juste une chose… est-ce que tu es enceinte ? » Avait-il parlé avec ma mère ? Ou voyait-il aussi clair en moi ? Je ne savais plus trop quoi penser. Il était tombé pile, j’étais enceinte, et c’était une des raisons pour laquelle je comptais me marié avec Benjamin, mais aussi parce que je l’aimais plus que tout et que cet enfant serait seulement le fruit de notre union. Qu’il arrive à trente ans ou maintenant alors que j’en ai vingt, ne changeait rien à mes yeux. « Tu ne penses pas sincèrement pouvoir élever cet enfant à ton âge. Princesse, tu n’as même pas encore fini tes études, tu n’as même pas commencé ta vie. Je ne veux pas te voir tout laisser tombé pour quelque chose que tu pourrais avoir un peu plus tard alors que tu serais installée dans ta maison et aurait un job stable. » Je comprenais ces arguments, j’étais d’accord avec lui, mais ce n’était pas aussi facile. Je voulais cet enfant, j’en avais toujours voulu. Peu importe à quel âge il allait arriver. J’avais juste à mettre mes études en pause pendant quelques temps, puis y retourner un jour. Je pouvais toujours avoir la grande carrière dont je rêvais, j’avais juste besoin qu’on y croit avec moi et qu’on m’aide. « Mon choix est fait papa. Je garde le bébé, et je voudrais simplement que toi et maman m’aidiez avec cela. Je ne pourrais pas le faire en sachant que vous êtes contre ce que je fais. » J’avais vingt ans, je ne savais pas dans quoi je m’embarquais, et même si Benjamin était à mes côtés peu importe ce qui se passait, ça me foutait un peu la trouille c’était vrai. Je ne savais pas ce qui allait arriver, mais j’avais besoin de savoir que mes parents étaient à mes côtés durant cette dure épreuve. « N’importe quoi pour toi princesse. Je t’aime et nous allons t’aider ne craint rien ! » Puis il s’était approché de moi pour me serrer fort dans ses bras pendant que je laissais tombé quelques larmes sur mes joues.